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Monsieur Attilio
Datte: 01/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica
... avec peine. Mes yeux se sont injectés de larmes. - Lundi prochain je veux que tu ouvres la porte comme cela. En slip avec la chaussette dans la bouche.... M. Attilio m'a donné une grande claque sur les fesses. J'ai gémis de douleur. Il m'en a donné une autre, puis encore une. Le bâillon couvrait mes cries. Il s'en foutait et me tenait par le cou pour que je ne lui échappe pas. - Penches toi sur la table.... J'ai couché mon torse maigre sur la table de la cuisine. Le dessus de la table était glacial. Je frissonnais. Mes fesses me brûlaient. Mes jambes tremblaient. Je pleurnichais sans aucune honte. Il s'est planté derrière moi. - Montre-moi ton cul. M. Attilio m'a baissé le boxer sous les fesses. J'avais très peur de la suite. J'ai tourné mon visage vers lui le suppliant du regard. Cela l'a fait rire. Il a commencé à ouvrir sa braguette. Je regardais terrorisé, la bouche écartelée par mon bâillon. Mais je ne bougeais pas, le torse frigorifié, collé contre le revêtement froid de la table, mes mains tétanisées sur les rebords. Un liquide chaud à giclé sur mon slip roulé autour de mes cuisses puis est monté sur mes fesses. Le jet a aspergé toutes mes fesses avant de remonter sur mon dos. Le liquide coulait sur le carrelage de la cuisine et sur la table. Le jet a frappé ma nuque avant de redescendre le long de ma colonne vertébrale. - La seule chose que tu mérites c'est qu'on te pisse dessus. M. Attilio a fini d'uriner dans mes cheveux et dans ma raie ...
... du cul. Les derniers jets se sont écrasés contre mon anus. Je pleurais de honte et d'humiliation. Le sol et la table étaient trempés. Mes cheveux et tout mon corps complètement souillés d'urine. Je sanglotais dans ma chaussette. Je ne l'ai pas entendu partir. Je suis resté sans bouger, le corps agité de spasmes incontrôlables. Je me suis traîné sous la douche. J'ai passé un temps fou à tout nettoyer dans la cuisine. L'odeur tenace de l'urine imprégnait ma peau. J'ai lavé comme un malade mon slip trempé. Mes fesses sont restées rouges toute la journée. J'ai compris que mes lundis allaient se transformer en petits enfers... oooOOooo M. Attilio a frappé à dix heures cinq. J'ai ouvert. Il est entré et m'a regardé d'un air satisfait. Je suis resté debout uniquement vêtu de mon boxer et ma bouche dilatée par la chaussette. Dans la cuisine, je lui ai servi son café. Il ne parlait pas. Il a finis sa tasse. Son ventre proéminent tendait sa chemise. Ses grosses mains étaient tachées de peinture. Il a écartées ses cuisses imposantes. - Approche.... Je suis venu debout entre ses cuisses. Je voyais le haut de son crâne. Il avait des pellicules dans les cheveux. Il m'a pincé les tétons en serrant de plus en plus fort. Je criais de douleur dans ma chaussette. - Tu te tournes..... Tu te penches.... J'ai bien sur obéis. Il avait une vue imprenable sur mes fesses moulées dans mon boxer collant. Ses mains ont à peine effleurées mes lobes. - Tu baisses ton slip et tu ...