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Monsieur Attilio
Datte: 01/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica
... ne voulais ni voir ni être présent. Je voulais être dans un autre monde. Je voulais disparaître. - Tu feras tout ce que je veux.... Absolument tout..... Un de ses bras m'a ceinturé tandis que son autre mains me poussait. Il m'a collé contre son bas ventre, m'obligeant à me pencher. Je pleurais silencieusement sans aucune retenue. Le tissu rugueux de son pantalon me grattait les fesses. M. Attilio a frotté son bas ventre contre mon derrière. Je le laissais faire. J'étais penché devant mon lit, comme une marionnette entre ses mains viriles. - Tu sens comme elle est grosse..... C'est pas comme la tienne.... Oui je sentais la bosse dans le pantalon de M. Attilio. Je sentais aussi son odeur de vinaigre. Je sentais ma répugnance. Je sentais sa puissance de vainqueur. Je sentais ma soumission de perdant. - Maintenant tu te débarrasses de ton pantalon et tu écartes bien les jambes..... On va faire un peu connaissance.... J'ai obéis à M. Attilio. Je savais que je n'avais pas le choix. J'acceptais d'être son prisonnier. J'acceptais son chantage. Je me sentais petit, incapable de résister. J'avais le cerveau cassé. - Tu as un très joli derrière.... On le mangerait..... M. Attilio a ouvert sa braguette et a dégagé son braquemart. Je ne pouvais rien voir bien sur. Mais un truc brûlant, énorme et baveux s'est promené sur mes fesses. - T'as la peau douce.... Une peau de bébé.... Un beau petit cul bien rond et bien relevé.... Pas de poils tant mieux... On va ...
... voir ta raie maintenant.... Les grosses mains de M. Attilio couvraient toutes mes fesses. Il a mis mon sillon à nu. J'ai essuyé mes larmes qui mouillaient mes joues. Il a sifflé d'admiration. Le bout de son sexe frottait le long de ma raie. - Tu as un tout petit trou.... Tout plissé... Avec une belle rosette..... Un vrai plaisir à regarder.... M. Attilio s'est branlé devant mon derrière. J'entendais ses halètements et ses râles de plaisir. Je sentais les mouvements de sa main sur son membre. Il avait laissé son gland entre mes fesses collé contre ma corolle. - Ne crains rien.... Aujourd'hui, je suis juste venu marquer mon territoire... Effectivement, il m'a marqué en jouissant sur mon dos, mes fesses et mon anus. Son sperme brûlant m'a marqué plus fort qu'un fer porté au rouge. Sa liqueur a atterri jusque sur ma nuque et sur le drap. Sa jouissance était proportionnelle à sa carrure et à sa bestialité. - Tu restes sans bouger.... M. Attilio est parti. La porte s'est refermé et moi je suis parti dégueulé. Je me sentais souillé, avilis. Je me suis frotté de toutes mes forces sous la douche. Je suis resté couché toute la journée. Je savais que je ne dirai rien à personne et que je serais obéissant. Je n'avais pas le choix. J'ai passé une sale semaine. Mais une seule chose comptait pour moi. C'est que personne ne sache. Et surtout pas ma mère Le lundi suivant, mon cœur battait tellement fort, que je pensais que j'allais m'évanouir. Je n'avais pas fermé ...