1. Monsieur Attilio


    Datte: 01/08/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byANDRERP95, Source: Literotica

    ... pour me faire mal.
    
    - Comme dit le proverbe, qui ne dit rien consent.... J'aimerais pas devoir tout raconter à ta mère....
    
    Malgré mes dix-huit ans tous neufs j'avais envie de pleurer. Je me sentais complètement désemparé et paniqué. Je ne savais pas quoi faire et sur le moment, j'étais piégé comme un animal dans une cage. Aucune issue. J'ai levé mon visage vers lui. Il a vu mon désarroi. Il a senti ma peur et mon abandon. Il avait un regard perçant et méchant. Aucune sympathie dans son visage. Au contraire, j'ai compris qu'il était en train de se faire plaisir. Cet homme que tous les locataires considéraient comme un larbin était en train de se venger avec moi. J'oublierai jamais le sourire méprisant qui s'est formé sur ses lèvres serrées.
    
    - Je veux bien me taire.... Cela peut rester entre nous....
    
    L'odeur de sueur que dégageaient ses fringues me semblait insupportable. Une odeur aigre, sale. Et ce gros ventre devant mon visage. Et ces grosses mains couvertes de poils noirs y compris sur les phalanges. Le pantalon de travail taché et très large. Les grosses chaussures jamais cirées maculées de traces de vieilles peintures séchées.
    
    - Je sais me taire.... Tu pourras même continuer... Mais bien sûr.....
    
    Tout était dans le "mais". Ses gros doigts boudinés ont fourragé dans mes cheveux blonds. Les ongles cassés et endeuillés ont griffé ma nuque. Je tremblais sans arrêt. J'avais la chair de poule. Il a fini son café.
    
    - Si tu me faisais visiter ta ...
    ... chambre;
    
    Bien sûr, je n'avais pas le choix. C'était un ordre. Un ton de commandement malgré la douceur de la voix. Je me suis levé. J'avais du mal à tenir debout. Il m'a laissé passer devant lui. Je ne pouvais ni penser, ni me révolter, ni même parler. J'avais même du mal à mettre un pied devant l'autre.
    
    Jamais le couloir de l'appartement ne m'a semblé si court. C'est lui qui m'a poussé dans la chambre. Le lit était défait, la fenêtre encore fermée. Je suis resté immobile devant le lit. M. Attilio est resté derrière moi.
    
    - On va faire un marché toi et moi..... Je vais rien dire, ni à ta mère, ni aux flics..... Je viendrais tous les lundis à la même heure......
    
    J'ai sentis des larmes couler sur mes joues. J'étais comme dans un cauchemar. Je regardais les draps froissés de mon lit. Je devinais cette masse humaine derrière moi. J'avais du mal à comprendre ce qu'il me disait. J'avais peur.
    
    M. Attilio m'a baissé le pantalon de jogging qui est tombé autour de mes chevilles. J'ai reniflé comme un gamin. J'avais envie d'appeler ma mère au secours.
    
    - Tu pourras aller à la cave autant que tu veux et faire ce que tu veux.... Mais entre dix heures et midi tu es à ma disposition....
    
    M. Attilio m'a ôté mon polo. Ses mains ont parcouru mon dos me faisant frissonner de dégoût et de honte. Elles ont pincés durement mes tétons me faisant crier de douleur.
    
    - Pôvre chochotte vas....
    
    Les mains sont descendues le long de mes flancs pour s'agripper à mes hanches. J'ai fermé les yeux. Je ...
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