Equinoxe sextraordinaire
Datte: 31/07/2024,
Catégories:
fhhh,
amour,
Partouze / Groupe
Humour
sf,
Auteur: Melle Mélina, Source: Revebebe
... termes de sexualité, mais au travers de ce texte, elle apprit que les femmes du vingt et unième siècle se faisait sodomiser, que cette pratique n’était pas perçue comme une déviance et que la femme semblait y prendre du plaisir.
Cela la perturba. Imaginez : la sodomie ? Comment peut-on prendre du plaisir à se faire enculer ?
********
Depuis son éveil à la sexualité, à l’âge de 18 ans, elle s’amouracha du robot C1PD. Il lui fit découvrir la joie d’une pénétration et la différence ressentie selon la position. Il en existe deux : celle que l’on appelle la levrette et l’autre que l’on appelle le missionnaire. Je ne pense pas qu’il faille écrire un paragraphe pour vous décrire ces positions, vous les connaissez tous, nous les connaissons tous, pour les pratiquer régulièrement.
Lorsque vous déverrouillez le mode « Trash » sur le programme du SexoRobot, vous pouvez également offrir au robot une fellation et lui, en retour, vous offre un cunnilingus. Et il sait y faire, le brigand. Évidemment, le contraire se vérifie. Être sucé par une robot de type BB8 vous envoie au plafond ! Par contre, il faut bien l’avouer, offrir un cunnilingus à une Robot n’est pas forcément ce qu’il y a de mieux en termes de plaisir sexuel.
LHOOQ se différenciait également dans ses ardeurs sexuelles. Elle avait décidément une imagination fertile, cette petite. La levrette et le missionnaire ne suffisaient pas à notre coquine. Elle expliqua à C1PD, avec beaucoup de patience, quelle nouvelle ...
... position adopter (difficile d’apprendre à un robot quelque chose qui ne figure pas dans ses programmes internes).
A force, elle y arriva. Désormais, C1PD la portait, la prenait debout, la retournait comme elle l’aimait et ce robot commençait, grâce à son intelligence artificielle, à anticiper les désirs de sa maîtresse. Plus d’une fois, sans attendre l’ordre, il enchaîna plusieurs positions pour le grand bonheur de L.
Après sa découverte des récits érotiques, son imagination déborda d’enthousiasme et elle poussa plus loin les limites qu’elle s’était elle-même imposées, se rendant compte que la notion de déviance sexuelle était somme toute relative.
Un jour, LHOOQ vint voir C1PD et lui demanda une pénétration anale. Le pauvre robot en failli perdre le contact avec son unité centrale.
La première fois n’est malheureusement pas à garder dans les annales ! Mais, LHOOQ était persévérante et au bout de plusieurs tentatives, C1PD parvint à entrer son chibre profondément dans l’anus de sa maîtresse sans qu’elle ne se mette à hurler de douleur.
Mais LHOOQ n’avait pas des envies pour avoir des envies, elle cherchait des réponses, donner un sens à sa vie. Elle sentait en son for intérieur qu’il y avait une nature double dans son comportement. Son attitude n’avait rien de léger et d’inconséquent, bien au contraire, il y avait beaucoup de profondeur dans sa vision de la vie, certes à l’opposé de ce que nous vivions. Elle se sentait étouffée dans les dogmes qu’elle trouvait ...