1. Une araignée au plafond


    Datte: 28/07/2024, Catégories: fh, fhhh, couple, amour, cérébral, revede, vidéox, Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, totalsexe, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... grosseur de mon abandon. Poignant plaisir !
    
    — T’es vraiment incroyable, toi !
    
    Lentement, sans forcer, sa main progressa. Tant j’avais le corps raide, tant j’avais le cul souple. Relâché plaisir !
    
    Ainsi j’étais dilatée, l’araignée était comme hypnotisée. Profond plaisir.
    
    Le temps s’est arrêté. Suspendues à un fil, nous étions, l’araignée et moi en arrêt total. Mais pas lui, mon mari qui rythmait ces secondes en dépliant puis repliant ses doigts en moi. Caressants plaisirs.
    
    Bon, d’accord, il me chatouillait tendrement de l’intérieur. Et je frissonnais !
    
    Bon, d’accord, ses longs cheveux électrisaient mes cuisses. Et je tremblotais !
    
    Bon, d’accord, j’avais une main en moi. Mais j’y pouvais rien merde ! C’était tellement pas moi que j’étais encore plus toute à lui !
    
    Il avait le nez en appui sur mon sexe, sa bouche lubrifiant en salive cette lente et pénétrante avancée, et j’ai joui pour la première fois du cul.
    
    ooOoo
    
    J’avais une étrange appréhension en me réveillant. Comme si ouvrir les yeux était ou serait la fin d’un rêve ou le début de la réalité, alors je me suis laissé un peu de temps avant d’enfin oser.
    
    J’étais dans mon lit, dans ma chambre. Rien de spécial en soi, mais je ne me sentais toujours pas dans mon assiette. Bouche sèche. Très sèche même. Peut-être avais-je beaucoup ronflé. Ça m’arrive parfois. C’est en me passant la langue sur les lèvres que je pensai avoir bavé. Du moins, au premier passage, car au second je compris que ce ...
    ... n’était pas ma bave que je ravalais.
    
    Je ne suis pas une grande adepte de la chose, mais, étrangement, ce matin-là recueillir puis savourer ces restes de jouissances avant de les avaler ranima un feu en moi. J’étais fourbue, mais je trouvai la force de bouger ma main. Et de l’agiter surtout. Plaisir !
    
    Ainsi me suis-je branlée, langue folle furieuse de tout récolter et doigts tout aussi acharnés à patauger dans les restes d’abondantes jouissances. Gourmands plaisirs !
    
    J’ai joui sans retenue, telle une affamée en manque alors que j’avais le visage et le sexe me témoignant encore des frasques de la nuit passée.
    
    — T’es incroyable, toi !
    
    Il a attendu que je sois revenue sur terre avant de parler, et tant mieux. Il sait que lorsque je m’envole si loin, rien, pas même lui ne doit venir comme un cheveu sur la soupe.
    
    — Tu me le dis souvent en c’moment, ai-je répondu, respiration un peu calmée.
    — Parce que c’est la vérité. Même après tant d’années, tu me surprends encore.
    — Pourtant c’est pas la première fois que tu me regardes me branler, fis-je l’étonnée.
    — Non, mais c’est la première fois que tu te branles comme ça.
    — Comment ça comme ça ?
    — Amour, tu viens de te doigter le cul !
    
    Bon, d’accord, je l’avais fait sans m’en rendre compte, et c’était bon !
    
    Bon, d’accord, je ressentais une légère irritation, et je m’en foutais !
    
    Bon, d’accord, j’ai léché mes doigts poisseux. Mais j’y pouvais rien merde ! J’adore autant que lui goûter à mes jouissances !
    
    — Ha ! ...