1. La nuit de tous les risques – Partie 3


    Datte: 27/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: GCG, Source: Hds

    ... arrivé, ma langue plongea entre ses lèvres avec avidité, explorant les moindres replis de l’entrée de sa caverne aux merveilles.
    
    Sous l’effet de l’excitation, et ne pouvant se servir de ses mains, ma petite pute me fit comprendre qu’elle voulait s’occuper de ma queue avec ses pieds. Inconsciemment, mon pieu se mit à glisser entre ses plantes de pieds, ma langue jouant avec son petit bouton tressaillant.
    
    — Baise moi ! S’il te plait, défonce-moi !
    
    Je ne lui répondis pas tout de suite, car à présent j’étais remonté sur son puit sombre, le lubrifiant avec ma salive et le dilatant de mes doigts pour le préparer à la suite de la soirée.
    
    Je me trouvais au bord l’extase, et je stoppais ma masturbation par crainte de jouir trop tôt.
    
    Même si l’idée de maculer ses mollets et ses pieds de mon sperme était plutôt tentante.
    
    — Comment tu veux que je te baise ? lui demandais-je, certain de sa réponse.
    
    — Bourre moi la chatte, remplis-moi !
    
    — N’oublie pas qui est le maitre ici ma belle…
    
    Et sur ces mots, je crachais une dernière fois sur son anus, avant d’y plonger mon membre au bord de l’explosion.
    
    Elle cria de surprise tandis que la moitié de ma verge s’engouffra dans ce canal étroit et doux.
    
    — Alors, tu aimes ?
    
    — Oui… oui maitre ! me répondit-elle essoufflée.
    
    Je lui laissais le temps de s’habituer à ma présence dans ce cylindre, étonnement serré, et lorsque, quelques secondes plus tard, elle commença à se déhancher sur mon pieu, je compris qu’elle ...
    ... était prête.
    
    A chacun de mes coups de reins, le bruit de mon ventre sur son gros cul claquait au travers de la pièce, projetant de la mouille épaisse sur le coussin de la chaise, stimulée sous l’effets de mes doigts fouillant son vagin. Elle gémissait, doucement au début, consciente que nos cris pouvaient alerter nos compagnons.
    
    Cependant, très vite, ses râles devinrent incontrôlables.
    
    Plus je m’enfonçais en elle, plus je grommelais fortement moi aussi, et ce bien malgré moi.
    
    Nos corps en sueur se chevauchaient férocement, ma queue s’enfonçant désormais entièrement en elle, m’insufflant un sentiment de bien-être quasi absolu.
    
    Je m’appliquais à lui casser le cul, car je voulais qu’elle se souvienne de cette soirée longtemps encore, et je fus convaincu d’être sur la bonne voie en voyant ses doigts se crisper, griffant vainement le verre dans un maelstrom de douleur et de plaisir.
    
    Elle se redressa, prenant appui sur la table, afin de me sentir plus profondément encore elle.
    
    Le souffle irrégulier et la peau luisante, je pouvais voir depuis cette position son ventre, ses fesses et ses seins bouger dans tous les sens, malmenés par mes coups de butoir de plus en plus puissants.
    
    — Je vais cracher mon jus dans ton cul ma belle !
    
    — Oui maître, s’il vous plait ! Videz-vous-en moi !
    
    Je ne tenais plus, et dans un puissant râle commun, je sentis mes bourses se vider, mon membre palpitant galvanisé par les mouvements de son anus se refermant à intervalles ...