La nuit de tous les risques – Partie 3
Datte: 27/07/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: GCG, Source: Hds
J’étais encore échaudé par ce que je venais de vivre : ce pied que j’avais pris à faire l’amour à ma femme avec comme fond sonore les cris de jouissance de sa salope de mère, hurlant son plaisir à se faire tringler dans le seul et unique but de me rendre encore plus accro à elle. A dire vrai, elle avait certainement elle aussi, dû s’éclater en entendant nos cris à nous… J’étais réellement curieux de savoir comment elle avait vécu la chose, et surtout, quels effets cela lui avait fait !
Mais cela allait devoir attendre.
Je voulu faire un arrêt aux toilettes, mais avec l’érection qui gonflait encore mon boxer, je savais que c’était peine perdue. Je décidai donc de passer voir les enfants afin de m’assurer que tout ce remue-ménage ne les avait pas réveillés, et de continuer ensuite ma route vers la cuisine afin de me prendre un rafraichissement bien mérité. Il régnait un calme apaisant dans toute la maison, et c’est donc sans surprise que je découvris mes enfants endormis, leur repos ne semblait pas le moins du monde avoir été troublé.
Rassuré, j’entrepris de descendre les marches de l’escalier, tendant tout de même l’oreille pour essayer de déterminer si l’un de mes beaux-parents se trouvaient déjà en bas.
Rien.
Vêtu uniquement d’un T-shirt enfilé à la hâte et de mon caleçon, le pire des scénarii étant celui où je tombais sur mon beau père. Je n’y pensais que maintenant, mais il avait lui aussi dû entendre nos ébats… Cependant, il fallait relativiser, car compte ...
... tenu de son état de soumis extrême, je doutais fortement qu’il puisse me faire une quelconque réflexion à ce sujet. Pour être tout à fait honnête, je devais bien l’avouer, avoir ce sentiment de contrôle sur le mari de ma maitresse était extrêmement satisfaisant.
Les marches craquèrent doucement sous mes pas, mais je ne m’en souciai guère, le bruit n’étant pas suffisamment audible que pour réveiller qui que ce soit.
J’arrivais dans le salon que je traversai rapidement, passant devant la table de la salle à manger vide et plongée dans l’obscurité pour arriver enfin dans la cuisine, où j’allumais la lampe afin de faciliter mes recherches. La lumière tamisée qui se répandait dans la pièce était chaude et rassurante, dissipant vaguement ma frustration de ne pas avoir pu me vider.
Je saisi un verre propre dans l’armoire située au-dessus de l’évier, et fit couler un fin filet d’eau tempérée tandis que l’écho des mugissements de mon succube me hantait l’esprit. Je sentais mon sexe effectuer des soubresauts à ces pensées, et me jurai de la faire crier encore plus fort lors de l’un de nos futurs entretiens…
Mon verre déborda, me sortant de mes songes. Une bonne rasade plus tard, je le nettoyai pour remonter auprès de ma femme, certainement toujours profondément plongée dans les bras de Morphée.
Ma main allait actionner l’interrupteur lorsque ma muse apparut dans l’ombre.
— Alors, tu ne dors pas ? me lança-t-elle avec un sourire en coin.
— Non pas vraiment, j’avais ...