1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1693)


    Datte: 26/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... instant, j’étais saisi par ma chevelure, Monsieur le Marquis plaçait mon visage entre ces deux lobes fessiers qu’il maintenait écartés. Je savais ce qu’il me restait à faire, sans qu’un ordre ne me soit donné. Ma langue avec empressement badigeonnait cet anus de ma salive, je forçais l’entrée chaude et odorante, reprenait mon souffle avant de m’engouffrer de nouveau dans ce sillon anal, pour cette fois-ci, pénétrer délicatement l’œillet flétrie d’Estelle de mon appendice buccal. Elle poussait un cri étranglé tout en se trémoussant sous ma bouche, tout en s’inclinant légèrement, tout en empoignant et écartant elle-même ses fesses pour me laisser davantage accès à cette corolle flétrie. Sous mes yeux, son anus s’entrouvrait, laissant apparaitre un anneau de muqueuses roses très serrés, très contracté. Mais subitement, sans la moindre considération, j’étais dégagé de ce cul, alors qu’Alice prenait le relais, empoignant les fesses d’Estelle, écartant sa raie désormais humidifiée, pleine de salive.
    
    - Voilà, mon cher Edouard, vous pouvez voir qu’elle est toute neuve du trou du cul, je m’en suis assurée.
    
    Monsieur le Marquis confirmait en constatant :
    
    - Oui, le sphincter résiste, je vois qu’elle est très sensible de ce trou-là.
    
    J’allais être de nouveau utilisé… J’étais posté, à genoux, devant cette chatte brulante. Entre les longs poils blonds tout collés, une grande échancrure rose bâillait, engluée de mouilles, avec des fines lèvres sexuelles gonflées et rouges, aux ...
    ... arêtes déchiquetées. Un long clitoris écarlate se tendait hors des nymphes. Des gouttes poisseuses perlaient au bord du vagin. Une odeur aigre de femelle chaude s’en dégageait.
    
    - Bouffe-là !, m’ordonnait le Maître, sans autre commentaire.
    
    J’obéissais sur le champ et enfonçais ma langue dans cette fente baveuse et gonflée. Je léchais la pointe de ce clitoris sorti. Je l’aspirai, le suçais tout en gémissant. Au comble de l’excitation, car oui j’étais excité tout autant qu’Estelle, je furetais aux abords du vagin qui s’ouvrait sous la poussée de ma langue. Les mâchoires endolories, j’aspirais de nouveau son bouton puis le léchais avec frénésie. Sous mon ventre, entre mes jambes ma nouille et mon cul pulsait, du bout de ma queue s’échappait un filament de précum qui pendait d’entre mes cuisses. En proie à un envoûtement horrible, je ne pouvais détacher ma bouche de ce sexe enflé, aux poils barbouillés de ma salive et de sa mouille. Son long clitoris rosi frémissait à chacun de mes coups de langue. Je sentais sous mon appendice ses muqueuses internes striées et gluantes, son vagin s’ouvrait par spasmes, expulsant des coulées de liquide, envahissant ma bouche, me poissant la langue, me barbouillant le visage. J’avalais autant que possible et m’excitait par les odeurs de cette chatte échauffée qui faisaient palpiter mes narines. La jeune fille, à peine majeure depuis peu, empruntée au départ avait cédé la place à une salope soumise déchainée. Elle se laissait brouter, alors que ...