1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1693)


    Datte: 26/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... chatte, j’ai dit !, ordonnait cette fois-ci le Maître avec beaucoup plus de sévérité dans le ton.
    
    Je n’en revenais pas ! Le Noble avec Son Charisme extraordinaire, Sa force innée de Persuasion, avec Son Charme et Son Magnétisme hors norme, Sa Domination tellement naturelle, obtenait ce qu’il venait d’exiger. Subjuguée, comme envoutée ou ensorcelée, la jeune Estelle fort excitée, à ne pas douter, portait ses bras derrière sa nuque et dénouait cette robe qui aussitôt lui tombait aux pieds. Sans rien dire d’autre, seulement en la dévisageant encore et toujours en la regardant droit dans les yeux, le Maître obtint qu’elle baisse sa culotte à ses genoux, qu’elle se débarrasse de son soutien-gorge.
    
    - Ta tante avait raison… tu es une vraie et belle salope… J’avais raison… tu ruisselles ! Regarde cette cyprine qui coule de ta fente, regarde tes cuisses, petite chienne en chaleur !
    
    Estelle baissait les yeux, posait ses deux mains sur son pubis.
    
    - Je ne vois pas grand-chose, avec tous ces poils, montre-toi mieux que ça, l’intérieur aussi !, ordonnait le Châtelain.
    
    Honteusement résignée, elle écartait ses poils de part et d’autre de ses lèvres sexuelles et mettait en pleine lumière ses muqueuses, restant ainsi exposée, alors que son sexe suintait allègrement. En proie à une fascination horrible, Je ne pouvais détacher mes yeux de cette chatte luisante et maintenue écartée, de l’indécence de son pubis bestialement gonflé, avec ces touffes de poils blonds frisés, ...
    ... certains collés et englués de mouille, avec ses reins creusés. Un désir inattendu me faisait rougir, à l’idée de cette chair disponible devant moi, l’envie m’était venue de prendre Estelle en un coït profond. Etrange sensation, moi qui était attiré uniquement par les hommes !
    
    - Oui salope, écarte-toi, montre-nous bien ta fente, montre-nous ton petit bouton tendu !, exigeait le Maître.
    
    Et Estelle, yeux fermés, s’exécutait, sans plus contester, sans plus manifester une quelconque indignation. Ses seins nus, à la peau très blanche et aux larges lunules roses ballottaient. Elle se passait la langue sur ses lèvres.
    
    - Montre-nous comment tu t’y prends pour branler ton petit minou et ton clito.
    
    Immédiatement Estelle commençait à gémir et à se trémousser. Le bruit visqueux de sa main faisant des allers-retours sur et dans son orifice, l’odeur entêtante de cette nudité et de ce sexe fort trempé à l’air, de cette mouille sortant de cette fente m’échauffait. Je sentais mon cerveau s’engourdir, ma nouille se gonfler, mon cul de nouveau palpitait. Maintenant Estelle criait, gémissait sous l’impact de ses doigts glissant sur son sexe luisant, poisseux, chaud, brulant, son visage révulsé se congestionnait. Elle écartait les cuisses et laissait apparaitre son gros bouton tendu, et son vagin entre ses chairs roses, elle poussait de petits cris rauques. Elle n’éprouvait ni honte, ni dégoût, elle s’appliquait, mouillait, inondait sa main qui s’agitait de plus en plus rapidement.
    
    - ...
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