1. Les petites stagiaires: Elodie II, 8


    Datte: 25/07/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds

    ... j’ai prise en mains sa nouille. Je la lui ai besognée. C’est un truc, ça, je sais faire quand même depuis le temps ! Oui, eh ben là, pas le plus petit commencement de début de résultat. Camille a eu beau venir à mon secours, y mettre aussi du sien, lui sortir ses seins, les lui agiter sous le nez, il y a rien eu à faire. C’était d’un vexant à force. « Bon, allez ! C’est pas la peine ! On remballe. » Et je me suis rhabillée. Il s’est confondu en excuses. Il était désolé, vraiment désolé. Il savait pas ce qu’il lui arrivait. Enfin, si, il savait ! Si ! Ça faisait une semaine qu’il m’attendait, qu’il n’avait plus que ça en tête : me voir nue, se répandre sur moi. Rien que d’y penser ça le mettait dans tous ses états et il pouvait pas se retenir. Il en était totalement incapable. Ce matin encore deux fois il se l’était fait. Alors forcément il arrivait un moment…– Ouais ! Le fantasmeur-type, quoi ! Tant qu’il s’agit de photos, de vidéos, de s’imaginer qu’on va les faire en vrai les choses tout va très bien. Il fonctionne à fond le bazar. Mais dès qu’il s’agit de passer à l’acte pour de bon tout s’effondre. Il y a plus personne.
    
    – C’est à peu près ça, oui !
    
    – Vous allez faire quoi ? Y retourner ?
    
    – Sûrement pas, non ! Pour que ce soit la même comédie…– En rencontrer d’autres alors ?
    
    – Je sais pas. Il m’a un peu coupée dans mon élan, lui ! On verra. On a tout le temps d’y réfléchir n’importe comment. Pour le moment, je tombe de sommeil. Tu viens, Camille ?
    
    – Nous ...
    ... aussi, Amandine, on va dormir ?
    
    – Dormir ? T’es sûr ?
    
    Elle s’est lovée contre moi.
    
    Tu sais que j’y pense des fois ?
    
    – À quoi ?
    
    – J’imagine qu’on est comme ça, tous les deux. Avec ton désir tendu contre mon ventre. Ton souffle dans mon cou. Et ça me donne envie. Non, mais comment ça me donne envie !
    
    De l’autre côté de la cloison, il y a eu un râle. Un autre.
    
    – Tu parles comme elle tombe de sommeil ! Non, mais t’entends ça ?
    
    Ça a déferlé de plus belle. Des feulements. De véritables feulements.
    
    – Qu’est-ce qu’il lui fait ? À ton avis ?
    
    – Peut-être ce que tu rêves de me faire depuis si longtemps.
    
    – Et que tu m’as promis de te laisser faire. Ce sera quand ?
    
    Elle n’a pas répondu.
    
    Sa main s’est posée au creux de mes reins. Y a flâné. A abordé le sillon entre les fesses. S’y est aventurée. Plus bas. Encore plus bas. Elle en a cerné le pourtour. Du bout du doigt. A fait mine d’entrer. S’est ravisée, éloignée. Avant de revenir à la charge. De se faire plus précise. Carrément inquisitrice. De s’enfoncer délibérément. Loin.
    
    À côté Élodie a hurlé.
    
    – Oh, oui, Camille, oui ! Encule-moi, mon amour ! Encule-moi ! Comment c’est bon !
    
    De sa main restée libre, Amandine m’a empoigné la queue.
    
    – Je peux plus attendre. Viens !
    
    Et elle me l’a engloutie dans sa chatte. Elle a noué ses jambes autour de moi. S’est éperdument ruée contre mon bassin. Elle a murmuré.
    
    – Il lui fait. Tu entends ? Il lui fait.
    
    Ses yeux ont chaviré. Et elle a joui. À ...