1. Mères et filles (2)


    Datte: 23/07/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... mère et quand celle-ci fit coucher son amant avant de s'allonger sur lui tête bêche pour un authentique 69 préliminaire, activé avec conviction par la mature, Marianne comprit qu'elle ne pourrait pas se dérober. Il lui fallait faire de même sur le lit jumeau.
    
    La suite allait montrer un certain mimétisme de positions. Quand Magali se releva pour venir chevaucher son amant provisoire et lui montrer son petit cul en mouvement rotatoire, Marianne fit de même en exposant ses petites fesses bien fendues. Mère et fille se regardèrent le sourire aux lèvres tout en laissant échapper des jappements de plaisir. Elles allongèrent mutuellement les queues en se mettant sur leurs pieds, se retournèrent en même temps pour exposer leurs petits seins aux regards et aux mains des deux mâles après qu'elles eurent dénoué leur chevelure, échangèrent sur la dureté de la bite sur laquelle elles cavalaient mais surtout trouvaient dans cette intimité sexuelle partagée une profonde satisfaction relationnelle, comme si elles se découvraient après plus de trente ans de vie commune, ou presque. Ce que Magali traduisit ainsi entre deux halètements et onomatopées :- J'adore te voir baiser.
    
    Marianne était trop concentrée sur son plaisir pour lui répondre mais cette impression était très partagée. Dans l'activité sexuelle, sa mère avait incroyablement rajeuni au point que sa fille se demanda si elle n'était pas devenue son double.
    
    Mais les deux randonneurs en eurent assez d'être soumis. Ils ...
    ... retournèrent prestement les deux femmes et s'enfoncèrent en elle en missionnaire, non sans précaution, de peur de soumettre ces deux corps menus à un joug trop intrusif. Ils labouraient en profondeur mais sur un rythme moderato, guettant leur réaction. Ce ne fut pas celle qu'ils envisageaient :- Eh les gars, on n'est pas un sucre, secouez-nous un peu, râla Magali.
    
    Et de planter ses talons dans les reins de l'homme à la queue de cheval pour le presser, imitée aussitôt par Marianne.
    
    Ils n'attendaient que ce signal. Une cavalcade effrénée secoua les deux lits jumeaux, ponctuée par les réflexions conjointes des deux femmes comme si elles baisaient en stéréo :- Oui, encore, vas-y, plus fort, ah, oh, hou, mmmhhh, t'arrête pas..., le tout prononcé dans une agitation extrême de cul, de cuisses, de pieds et de mains.
    
    Les deux gars n'en revenaient pas de leur chance. Ils étaient tombés sur deux grandioses salopes. Ils eurent la satisfaction mâle de les faire jouir simultanément, mère et fille ayant adopté jusqu'au bout le mimétisme du plaisir. Ils remplirent leur capote pendant qu'elles se cabraient avec une énergie étonnante pour des petits corps. Ils ressentirent alors dans leurs jambes de cyclistes une décharge électrique qui laissait mal augurer de leur sortie du lendemain. Ils quittèrent le lit en titubant sous le satisfecit exprimé par leur partenaire d'un soir. Lesquelles échangèrent pendant plusieurs minutes avant de trouver le sommeil :- Tu es belle quand tu baises, dit ...