1. Mères et filles (2)


    Datte: 23/07/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Micky, Source: Hds

    ... digestive dans la douceur du soir, et profitant du fait que les deux hommes se trouvaient devant, Magali chuchota à l'oreille de sa fille : - Tu en as envie ?
    
    - De... quoi ?
    
    - De baiser, tiens. Tu crois que je ne lis pas dans tes pensées ? Je ne suis pas ta mère pour rien.
    
    - Cela va un peu vite, non ? On les connait à peine, ces deux garçons.
    
    - Justement. Ce sont les meilleurs coups, crois-moi. Tu fais ta petite affaire et le lendemain, ciao. C'est parfait.
    
    Marianne marqua un temps de réflexion. Après tout, sa mère n'avait peut-être pas tort. En un sens, elle lui montrait une liberté de ton assez épatante. Néanmoins, elle ne la voyait pas passer à l'acte. Elle répondit, croyant la défier et la mettre en difficulté : - Ils sont deux. Il y en a un de trop. Tu prends lequel ?
    
    Magali ne put s'empêcher de pouffer de rire.
    
    - C'est toi qui lis dans mes pensées.
    
    Marianne marqua sa surprise :- Tu es prête à... faire l'amour ce soir ?
    
    - Ben tiens, je pense bien. Tu n'imagines quand même pas que je vais laisser passer une occasion pareille, à mon âge. J'espère qu'ils ont une grosse bite car j'ai de la place.
    
    Entendant les rires, les deux randonneurs se retournèrent. Ils ne furent pas long à comprendre que les deux femmes étaient "open". Impression confirmée quand Marianne et Magali les prirent par la main dans un geste d'affection qui préludait à des rapports beaucoup moins romantiques. Il fut tacitement convenu que la soirée se prolongerait au lit. ...
    ... Magali exigea juste de ne pas être séparée de sa fille. Comme une précaution face à deux inconnus. Et c'est ainsi que tous les quatre entrèrent dans la chambre des deux femmes avec pour points communs une forte tension dans le bas-ventre.
    
    L'un des deux randonneurs, un grand sec à queue de cheval, ne fit aucune objection à être pris en charge par la mère. Il avait un faible pour les femmes mûres, voire très mûres, pour leur absence générale de tabous. Il est vrai que l'excroissance spectaculaire sur le devant de son pantalon avait motivé Magali à lui mettre le grappin dessus pour les raisons déjà évoquées. Le deuxième larron, un brun un peu rond et nerveux, fut donc dévolu de fait à Marianne. A dire vrai, celle-ci était surtout préoccupée par la présence de sa mère dans ce contexte intime. Elle l'avait mise devant le fait accompli. Elle n'avait jamais imaginé non seulement faire l'amour devant elle, mais surtout la voir faire de même.
    
    C'est pourtant ce qui allait se produire car on avait atteint un point de non retour. Magali s'était vite mise entièrement nue, étalant sans complexe son corps de femme mûre au ventre un peu renflé sous le nombril mais encore ferme et tout à fait consommable aux yeux du grand sec, dont l'érection majuscule témoignait de son désir. Magali lui témoigna vite son savoir-faire en le suçant et le branlant tandis que Marianne et son chevalier servant en étaient encore au stade du déshabillage progressif. Il est vrai que la fille gardait un oeil sur la ...