1. Hélène 60, le roi aveugle


    Datte: 17/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Rouge22, Source: Hds

    ... dos. Elle a des jambes fines et nerveuses, surmonté d’un petit cul pommé. Mais je n’arrive pas à l’apprécier. Je n’aime que les postérieurs généreux comme ceux de mes opulentes soumises. Mais, je ne suis pas là pour chipoter.
    
    Je lance une rafale de trois cinglées. Et comme me l’a appris Pierre, je marque une petite pause pour la laisser déguster. Encore une bordée de trois coup. La malheureuse danse d’une jambe sur l’autre, meurtrissant ses épaules tordues. Pour la finir, je reprends le martinet, et je reprends la fouettée en alternant fesse droite fesse gauche.
    
    Je suis en sueur, je fatigue, mes coups sont de moins en moins appuyés. Je n’éprouve aucun plaisir. Il est temps que ça finisse. Jean doit lire dans mes pensées.
    
     C’est bon, arrêtez, m’ordonne Jean.
    
     Pouvez-vous me guider me demande-t-il, en se levant.
    
    Je saisis sa main, et le l’accompagne près de la suppliciée.
    
     Vous sentez très bon. me confie-t-il
    
     Je pue la sueur.
    
     Oui, mais elle n’a pas fait virer votre parfum, et le mélange donne une odeur très sensuelle, et même aphrodisiaque.
    
    Je ne sais que répondre. Je pose ses doigts sur la chair de sa soumise.
    
     Desserrez légèrement ses liens, mais ne la détachez pas.
    
    Il se place derrière elle sans rompre le contact avec sa peau. Il défait sa ceinture, puis fait tomber son pantalon. Une bite de belle taille, noueuse comme un cep de vigne se lève à l’horizontale. Il pose ses mains sur ses hanches. Il assure sa prise. Elle commence à ...
    ... trembler.
    
    Il l’empale d’un coup violent, il force son anus, elle crie. Sans pitié, il la pistonne.
    
    Je ne suis pas voyeuse, je suis même mal à l’aise. Et puis ils n’ont plus besoin de moi. Je ramasse ma jupe. Je remonte l’escalier. Pierre m’attend dans le salon, pianotant sur son ordinateur. Sans un mot, je me rhabille. En bas les cris se sont transformés en râles de bonheur. Je prends la main de mon époux.
    
     On y va chéri.
    
    Dans la voiture, je reste muette, mon mari respecte mon silence. Il le brise juste pour me demander.
    
     Tu veux finir la soirée au resto.
    
     Non, je veux rentrer à la maison. Tu pourras nous faire un petit truc pendant que je me lave.
    
    Pierre me rejoint sur le canapé avec un assortiment de crudités qu’il dépose sur la table basse. Il s’éclipse et revient avec un bouquet de roses rouges déjà disposées dans un vase.
    
    Je lui fais sa place habituelle près de l’accoudoir et je me coule contre lui. Comme d’habitude, je prends sa main pour qu’il empaume mon sein. Je me sens bien, à la fois propre et sereine, débarrassée de la tristesse de cette après-midi. Je gigote du cul pour me caler contre son ventre. Il manifeste son intérêt certain.
    
     Chaton, ce soir je n’ai pas trop envie.
    
     Ça tombe bien, je suis un peu fatigué, me ment-il. Et il continue.
    
     Et comment ça s’est passé en bas ?
    
    Je lui raconte tout : la croix, le fouet, la pendaison par les poignets, la poitrine et le cul martyrisés. Et je lui dis aussi ma lassitude, et ma fatigue. ...
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