1. Hélène 60, le roi aveugle


    Datte: 17/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Rouge22, Source: Hds

    ... la main de Jean et je la pose sur mon bas. Je la fais glisser sur ma cuisse, au-dessus de la lisière des nylons. Je la guide sous la soie de la culotte. Il empaume ma fesse.
    
     Quelle douceur, quel moelleux, mais il se reprend.
    
     Hélène, commencez, fouettez la et faites la pleurer
    
    Je retourne à l’armoire. J’y retrouve une vielle connaissance, un martinet à neuf lanières.
    
    L’outil bien en main, je me plante devant Françoise. Elle respire doucement, ses paupières sont à demi fermées. J’hésite sur la cible à viser. Puis mon bras s’abat. Ces seins se rayent de rouge.
    
    Je vise entre les jambes le martinet frappe ses lèvres intimes, elle crie, serrant les genoux par reflexe. Je marque une pause, et j’ordonne.
    
     Ecartez vos jambes, je vais recommencer
    
    Elle se force à s’ouvrir. Je vise le clitoris dressé, Et je mets dans le mille, elle hurle. Je me recule, je la laisse reprendre son souffle. Puis je balance un aller-retour sur son bas ventre et ses cuisses. Elle serre les dents et ne laisse échapper qu’un souffle saccadé. Encore deux cinglées sur sa poitrine et sa chatte. Je me tourne vers la penderie, et je décroche un long fouet. Je campe face à elle.
    
     Jean, elle a trouvé le bull whip.
    
     Hélène, s’il vous plait, pas de pitié, m’intime son mari.
    
    Françoise me fixe avec un regard halluciné. Elle me supplie
    
     Commencez, par pitié.
    
    Je lance ma lanière, elle s’enroule autour de ses hanches. Comme un serpent, la mèche mord l’intérieur de la cuisse. Je ...
    ... ne lui laisse pas le temps de souffler et je flagelle ses mandarines. Je la fouette encore trois fois sans marquer d’arrêt. Mais il est temps de passer à autre chose.
    
    Je délie ses chevilles, elle essaie de tenir debout, ses genoux plient, puis finalement elle retrouve ses appuis. Ses sanglots s’apaisent. Je décroche ses poignets. Elle se cramponne à moi. A travers mon chemisier et la dentelle de mon soutif, Je peux sentir ses bouts durcis contre mes seins gonflés par l’excitation.
    
    Mais le moment n’est pas celui du frotti frotta entre filles. Je ramène Françoise au-dessus du chevalet. Je lui bloque les chevilles, jambes écartées. Je lui lie les mains dans le dos, ce qui projette ses seins en avant. Dans l’armoire, je prends deux pinces à picots munies chacune d’une grande chaine. Je masse le mamelon gauche pour le faire grossir. Puis je pose l’instrument de torture. Je serre, elle râle.
    
     Que te fait-elle demande Jean.
    
     Elle me pose la deuxième pince, répond-elle dans un souffle.
    
     As-tu mal ma chérie ?
    
     C’est atroce.
    
     Hélène, s’il vous plait serrez plus fort.
    
    Sous la douleur, la pauvrette étouffe à peine un cri.
    
     Voilà qui est bien commente son seigneur.
    
    J’attache ses poignets à une corde pendant d’une poulie accrochée au plafond. Je courbe la suppliciée en avant, et je tire ses bras vers le haut, martyrisant ses épaules. Le tréteau ne la soutient pas, il n’est là que pour éviter une chute en avant trop brutale.
    
    Je contemple ma victime de ...
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