1. Première ascension


    Datte: 17/07/2024, Catégories: fh, hplusag, couleurs, hotel, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, dominatio, Auteur: Benitoforyou, Source: Revebebe

    ... plaisir…
    
    Elle perdit pied et connaissance.
    
    Je la recueillais en mes bras, fasciné par son plaisir qu’elle m’avait ainsi offert, la confiance qu’elle m’avait accordée, si grande alors que si jeune, elle pourrait craindre le vieux loup croquant le petit agneau qu’elle semblait être, mais qui chaque jour, à chacune de nos discussions, démontrait que n’était pas loup ou agneau qui se décrète l’être.
    
    La saveur de son corps encore sur mes lèvres, je la recouvrais de sa robe dont je fermais les quelques boutons que la décence sollicitait de ses vœux quand mes yeux, au contraire, et mes mains, avides de ses seins en poire, aux pointes encore érigées, tout comme son pistil, sans doute terriblement sensible de son plaisir, auraient souhaité explorer encore, mais raisonnées par l’homme attentif, se hâtaient de rhabiller ma belle fleur, qui se lovait dans mes bras, pour la poser à mes côtés, la recouvrant de nouveau des plaids.
    
    Je la couvais du regard et l’entourais de mes bras, la berçant… patientant car le premier acte n’était pas encore terminé et je souhaitais qu’elle apprenne aussi bien à se livrer à mon regard, qu’à m’offrir la félicité de l’accompagner dans le plaisir, peu m’important qu’elle m’y ait précédé une ou plusieurs fois, bien antérieurement ou dans une concomitance qu’il m’était néanmoins plus difficile à atteindre maintenant, tant l’excitation grandissait à la voir prendre du plaisir, les lèvres pincées entre ses dents, et ses mains caressant qui ses seins, ...
    ... qui son bourgeon, qui son puits trempé, qui son entrée secrète.
    
    Parfois, dans nos rendez-vous, elle prenait mon sexe en main ou en bouche et m’amenait au plaisir pour la simple joie de me voir jouir la regardant dans les yeux, elle à genoux à mes pieds, moi assis sur un fauteuil, affalé, le corps râlant, le souffle court, moi le prétendu dominant, totalement à la merci de ses caresses, de son attention à mes ordres que je m’évertuais à donner, l’air sérieux, le mot tantôt directif presque dur, tantôt cru, la traitant de douce salope, de petite suceuse et autres délicates insultes à destination de celles qui n’ont de chienne que la fidélité du sentiment d’amour qu’elles vouent à celui qu’elles chérissent pour en avaler toute l’affection quelle qu’en soit la forme.
    
    Souvent, j’aimais la voir nue, lécher ma hampe, me demandant si je voulais qu’elle se soumette à une petite perversion… oh, rien jusque-là de bien « hard » comme elle le disait avec son sourire de petit démon malicieux…
    
    Il est vrai que le soir de notre première rencontre, j’avais osé lui dire mon attirance, moi l’homme vanille au premier abord, si doux et prévenant, pour le chocolat, le plaisir que j’aimais trouver dans la soumission de l’autre, loin néanmoins encore du masochisme ou du sadisme marquant que certains pouvaient pratiquer mais auxquels, sans les juger, car je pouvais en revanche avoir des penchants étonnants pour d’autres, je n’avais pas l’envie ni le goût de m’adonner.
    
    Et peu à peu, riant ...