1. Derrière chez elle y a un étang


    Datte: 11/07/2024, Catégories: fh, grp, inconnu, bain, forêt, campagne, revede, Transexuels intermast, entreseins, Oral 69, pénétratio, hdanus, hsodo, Partouze / Groupe merveilleu, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... effet non seulement « normaux », mais très désirables. Les choses se compliquent au moment où son bas-ventre apparaît en plein jour. Une superbe bite, en complète érection orne le haut de ses cuisses.
    
    — Pas de conclusions hâtives ! Je ne suis pas trans. Je suis bien une vouivre. Et je protège bien une pierre précieuse.
    
    Elle se tourne alors de manière très naturelle et me laisse découvrir entre ses fesses un plug orné d’un rubis. Jusqu’où se niche la modernité mythologique…
    
    Le problème, c’est que la vouivre exerce une force d’attraction irrésistible sur tout humain qui s’en approche. Et que son appétit sexuel est légendaire. Son appétit et son endurance.
    
    À partir de ce moment, tout va très vite. Je perds toute force de résistance. Bien au contraire, une odeur suave et envoûtante émane du corps de la créature, qui me pousse à la rejoindre.
    
    Il suffit qu’elle redresse son torse et me tende ses seins pour que je me mette à bander. Je suis en même temps fasciné par son membre aussi raide, mais beaucoup plus long que le mien.
    
    Ielle s’approche de moi, prend ma main et la pose sur sa tige. Sans me lâcher, elle appuie sa tête sur mon épaule et murmure des mots de sexe et de désir à mon oreille. Je ne suis plus en état de distinguer si c’est la femme ou l’homme qui me pousse à caresser son sexe, à fouiller entre ses cuisses, à téter ses mamelles et à abandonner mes lèvres à sa bouche.
    
    Son haleine délicieusement parfumée et la chaleur de sa bouche (ou est-ce une ...
    ... gueule prête à cracher le feu de l’enfer ? ) me mettent en transe. Nous sommes dans l’eau jusqu’à mi-cuisses, tout proches l’un.e de l’autre.
    
    Je suis entièrement à la merci de cette créature, qui pourrait m’entraîner avec elle au fond de l’eau. Je n’éprouve pourtant aucune crainte. Juste un intense désir de caresser son sexe, de le faire gonfler encore plus, puis d’en extirper ce qui doit servir de semence à ce genre de créature.
    
    Avec des gestes toujours délicats, comme pour ne pas briser la magie qui s’opère entre nous et m’empêche de hurler de terreur, elle guide ma main entre ses fesses, pour que je joue avec son plug. J’enfonce l’engin, puis le retire de quelques centimètres avant de le remettre bien en place. La vouivre gémit doucement, sa verge tressaille contre mes doigts à chaque enfoncement.
    
    Je sens de manière très précise le plaisir que je lui donne. Et que je reçois aussi d’elle, tant elle s’offre à moi comme le ferait n’importe quelle femme, ou quel homme que je désirerais. Elle me fait caresser ses seins, embrasser son ventre, accélérer mes attouchements sur son sexe.
    
    Elle me dit à quel point ielle a envie de moi, que je ne dois pas avoir peur, même si notre union me paraît étrange, contre nature même.
    
    Le souffle court, elle me supplie de lui faire confiance, qu’elle va m’amener à des plaisirs nouveaux, si je lui apprends les voluptés que partagent les humains.
    
    Bien sûr que je veux. Alors je sens quelque chose de dur se glisser entre mes fesses, ...
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