1. Derrière chez elle y a un étang


    Datte: 11/07/2024, Catégories: fh, grp, inconnu, bain, forêt, campagne, revede, Transexuels intermast, entreseins, Oral 69, pénétratio, hdanus, hsodo, Partouze / Groupe merveilleu, Auteur: Olaf, Source: Revebebe

    ... penser que des faunes lubriques y pratiquaient un sabbat impie.
    
    Pour la suite, mes souvenirs sont assez flous. Je suis presque certain d’avoir cueilli quelques plantules, je suppose avoir participé à la réalisation de potions aussi magiques que terriblement aphrodisiaques, et il n’est pas exclu que j’aie participé à des jeux très sexuels avec Caro, notamment.
    
    J’ai aussi un vague souvenir d’avoir longuement sucé un téton masculin pour faire jouir son propriétaire pratiquement à bout de forces, et finalement de m’être endormi la bouche sur le sexe de Malika, dégoulinant de divers jus séminaux, alors que Caro embrassait amoureusement mon membre vidé de ses dernières gouttes de semence.
    
    C’est dans cette constellation que je me réveille ce matin, entre les bras de Caro et de Malika, toutes deux encore agitées par des rêves voluptueux, à en juger par la moiteur de leurs intimités pressées contre mes cuisses.
    
    La troisième fille est déjà en train de revigorer les deux autres mecs, dont elle veut visiblement jouir encore quelques fois.
    
    À la voir se démener, la double pénétration n’est déjà plus une hypothèse mais une voluptueuse certitude.
    
    Je préfère ne pas imposer à mes deux partenaires endormies un désir que la vision d’une autre femme en chaleur a provoqué, et je quitte le champ de bataille pour un tour à l’air libre.
    
    La marche me fait du bien et me remet progressivement les idées en place. Je décide alors d’aller faire quelques brasses dans un étang que j’ai ...
    ... repéré non loin de la maison de Malika.
    
    Je suis un peu irrité de constater qu’une nana semble avoir eu la même idée que moi. Elle est déjà dans l’eau jusqu’au-dessus du ventre. Je peux juste distinguer de jolis seins en forme de petites pommes avant qu’elle s’enfonce complètement dans l’eau.
    
    J’attends qu’elle ait fini de faire trempette avant de me déshabiller et d’aller nager à mon tour. Vu ce qui circule sûrement encore dans mes veines, je ne voudrais pas l’effrayer avec une réaction virile trop intempestive.
    
    Finalement, les choses se déroulent tout autrement. La fille doit sentir ma présence et se retourne. Mais elle est loin de montrer la moindre crainte. Bien au contraire…
    
    — Salut beau mec, tu peux venir te baigner, ça ne me dérange pas. Au contraire, dit-elle en sortant son torse hors de l’eau.
    — Salut, moi c’est Philippe.
    — Sympa, moi c’est la Vouivre.
    — Ha ha, très drôle ! Genre que, sous l’eau, tu as une longue queue avec des écailles ?
    — Ça, c’est seulement quand je suis en colère ou juste avant de jouir. Sinon, je suis une femme presque normale.
    — Presque ? Rapport à ton diadème orné d’un gros rubis que tu aurais caché sous un rocher ?
    — J’aime ton humour. Mais le diadème c’était aux siècles passés. Nous, les Esprits de l’eau, nous nous adaptons à l’esprit du temps.
    
    Elle commence alors à sortir de l’eau, en marchant dans ma direction. Au point où nous en sommes, je me déshabille à mon tour et la rejoins.
    
    Ses seins et son ventre musclé sont en ...
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