Échanger ? Oui, mais…
Datte: 11/07/2024,
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Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... disparaissent.
— Tu veux monter tout de suite ? me demande Édouard comme si tout était naturel.
Sans attendre ma réponse, il continue par :
— Je prendrais bien un verre, pas toi ?
Nous prenons ce verre en silence. J’ai l’impression qu’il attend que je prenne l’initiative. Je prends cela comme une délicatesse, mais d’un autre côté je me sens rabaissée par son manque d’enthousiasme.
— Je monte. Tu viens ?J’hésite et puis continue par : si tu veux tu peux prendre une autre chambre.
— Non, merci, je te suis.
Ma chambre est au fond, enfin, je veux dire la mienne et celle de Jean. Jean qui est de l’autre côté de cette porte que je regarde en passant, l’imaginant avec ma copine…
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Jamais je ne me suis sentie si humiliée. S’il n’avait essayé de me draguer il y a quelques années, je l’aurais pensé tout à fait insensible à mes charmes. Pourtant j’ai fait ce qu’il fallait, mais manifestement, ma nuisette transparente ne l’a pas détourné de la revue qu’il a trouvée sur la table de chevet. Dans mon lit, à la place de mon mari, lisant une revue alors que Jean, au moins lui aurait fait honneur à mes efforts.
Le :excuse-moi, mais ces temps-ci, je suis fatigué. Emma a dû t’en parler. ne me console pas vraiment.
C’est comme un mauvais film, le mari qui pose son livre pour éteindre et qui, après un « Bonne nuit », se tourne de son côté et s’endort.
Elle m’avait prévenue, mais tout de même, je pensais que moi je le réveillerais.
Il dort, ...
... ronfle doucement… J’ai éteint, mais le sommeil ne vient pas… Quand je pense qu’un peu plus loin… ? Quand je pense que je me plaignais… ? Mes pensées sont tournées vers eux… Que font-ils ? Une petite voix me répond :
évidemment qu’ils baisent, pendant que toi tu te morfonds. Eh oui, tu ne connaissais pas ton bonheur, un mari aimant, toujours prêt à te combler. Pas question de continuer ce petit jeu. Demain, on revient à la normale et tu reprends ta place. Oh, tu vas le satisfaire ton mari… tu vas lui faire oublier cette erreur… Souhaite que cela ne lui ait pas donné des idées…
Il faut que je sache ! Je me lève. Dans le couloir, je marche sans bruit, colle mon oreille contre la porte. Je l’entends. Oui, je l’entends clairement. Ce sont des cris d’Emma, des cris de plaisir. Ils baisent.
Cela me fait mal ! Jamais je n’aurais dû accepter. La petite voix qui revient :
Pourquoi ne pas entrer et dire que tu ne veux plus. Tu n’es pas obligée de dire que c’est parce qu’Édouard ne te kiffe pas. Tu peux dire que tu regrettes. Tiens, pourquoi pas prétexter la jalousie…
J’ai dû ouvrir la porte sans m’en rendre compte, car je vois Emma chevauchant mon mari. Emma échevelée, se baisant avec ardeur, poussant des petits cris à chaque fois que, de tout son poids, elle se laisse tomber, engloutissant la verge de mon mari.
Mais mon entrée se remarque. D’abord Jean et puis ma copine.
— Julie ? Qu’est-ce que… Tout va bien ?
Que dire ? Que faire ? Je vois bien au regard que me ...