1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1566)


    Datte: 08/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... faisant ramoner et défoncer le cul par une bite factice toujours plantée et bien arrimée entre mes reins ! Les mouvements des va-et-vient ralentissaient très vite et étaient de plus en plus lents jusqu’à finalement s’arrêter. Le bout de ce gode, restait enfoncé de quelques centimètres dans mon antre, dilatant et obligeant mon anneau à rester distendu et écarté.
    
    - Nous allons t’apprendre à délester tes couilles de leur jus sans que tu éprouves le besoin de bander… La prochaine fois, tu garderas ta cage sur ta nouille, espèce de cochon…
    
    Du bout de son index, cette satanée femme cueillait mon foutre retombé sur la tablette de la chaise et me portait ce doigt en bouche en me disant :
    
    - Avale des souillures, gros bâtard que tu es, regarde, tu en as foutu de partout, y compris sur ton bavoir. Tu n’es qu’un vrai porc !
    
    Le bavoir en éponge m’était retiré, mais cette garce le frottait contre mes joues et mon front pour l’essuyer, puis disparaissait en compagnie de son conjoint, me laissant là, dans un piteux état, totalement défait, toujours assis sur ce gode.
    
    Peut-être une demi-heure plus tard, Monsieur et Madame ‘Pervers’, habillés cette fois-ci, se décidaient enfin à me libérer. J’étais détaché et conduit à la salle de bain. J’espérais pouvoir prendre une bonne douche, pour effacer toutes ces odeurs de pisse et de foutre, mais aussi pour me brosser les dents pour, car j’avais encore ce gout de bouillie infâme qui persistait en bouche, me donnant l’impression que je ...
    ... puais de la gueule. Encore une fois, j’avais tout faux ! Ces deux sinistres dépravés, après m’avoir reposé cette minuscule cage de chasteté, me faisait allonger sur une planche posée sur les rebords de la baignoire.
    
    - Tu n’as vraiment pas de chance mon pauvre bébé esclave, me disait cette grosse mégère tout en souriant avec une perversité affichée.
    
    Je ne voyais absolument pas où elle voulait en venir. Elle haussait les épaules en regardant son mari et reprenait la parole.
    
    - Tu as une solution Marc…
    
    - Ben non !
    
    Qu’est-ce que ces deux sadiques manigançaient ?
    
    - La solution serait de lui remettre celle d’hier au soir, on ne peut pas le laisser sans !, reprenait Marc
    
    Je ne comprenais rien de cet échange.
    
    - Oui tu as raison, tu l’as mis où ?
    
    - A la poubelle… Je vais la rechercher, mais elle est sale !...
    
    - Merci chéri… Sale ? Ce n’est pas grave ça ! Tu vas voir, elle va être nettoyée !, concluait la vulgaire nurse avec un gros clin d’œil complice à Marc
    
    Peu après Marc revenait en tenant la couche-culotte sale et souillée que j’avais porté la nuit dernière.
    
    - Nous n’avons plus de couches culottes propres, mon pauvre bébé esclave, nous sommes donc dans l’obligation de te remettre celle-ci… Mais ne t’inquiète pas mon petit chéri, nous devons aller faire des courses, nous t’en achèterons.
    
    - En attendant, tu vas lécher cette couche ! Après tout, ce ne sont que tes propres souillures, alors nettoie bien avec ta langue, l’intérieur de cette couche, ...