1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1566)


    Datte: 08/07/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1565) -
    
    Chapitre 26 (bis) : Ce couple diaboliquement pervers ! -
    
    Le volumineux gode allait et venait en moi… d’abord lentement, mais lorsque ce pervers de Marc appuyait sur une petite télécommande, les mouvements augmentaient sensiblement allant à la verticale, de haut en bas, de bas en haut et ainsi de suite...
    
    - Tu vois chérie, ainsi nous ne perdons pas de temps, grâce à mon système, on lui fait le cul tout en le nourrissant.
    
    - Tu es trop fort, mon Marc… Heureusement que je t’ai !, reprenait cette vulgaire nurse en éclatant de rire.
    
    Maintenant je mangeais, certes à contre cœur, mais je mangeais. « Plus vite tu auras fini, plus vite tu seras débarrassé de ce gode perforateur », pensais-je… Mais ces deux pervers continuaient à m’humilier :
    
    - Dès lors qu’on lui nourrit le cul à cette putain, tout s’arrange !
    
    - Il adore ça… se faire remplir… c’est sa raison d’être, c’est sa raison d’exister…
    
    - Tout comme ses parents !
    
    - Regarde-le… Tu as vu comme il se pâme, il tremble de tout son corps…
    
    - Je suis sûr que si on lui enlevait sa cage, il banderait comme un porc
    
    - Chiche ! Testons pour voir !
    
    Effectivement, ils avaient tous deux raisons ! Aussitôt ma queue libérée, elle se redressait d’un seul coup, s’érigeait instantanément. Je mouillais abondamment du gland
    
    - Regarde-moi cette salope, ça bite ruisselle, une vraie chiennasse !, ...
    ... affirmait Marc.
    
    Ce pervers homme manipulait encore la télécommande, et là je ressentais de longs va-et-vient lents et invasifs me pénétrer, j’étais au bord de la jouissance, craignais qu’une longue et forte éjaculation se produise tant cette pénétration m’était agréable. Des petites rotations de l’objet sur ma prostate me faisait trembler de tout mon corps, je frissonnais, sentais le feu en moi m’envahir, je me sentais partir… « A ce rythme-là, tu ne vas pas pouvoir tenir bien longtemps », pensais-je… Je geignais, soupirais, respirais, gémissais. Puis les va-et-vient s’accentuaient grandement, à une vitesse inouïe.
    
    - Haaaaaa ! Je…. Je vais… je vais joui….jouir… Haaaaaa …
    
    Trop tard… Je jouissais violemment et expulsant mon sperme par plusieurs spasmes successifs, un moment d’extase fulgurant et foudroyant, alors que cette machine à baiser continuait à aller et venir entre mes reins dans une cadence folles et régulière, comme un métronome qui s’affolerait et qu’on ne pourrait pas stopper. Quelques secondes après, juste après avoir retrouvé mes esprits je me disais. « Tu vas dérouiller mon pauvre Alex, tu as joui sans autorisation… » Evidemment, je prenais quelques paires de gifles, mais pas aussi fortes et violentes qu’elles auraient pu être…
    
    - Tu vois ce que c’est que de jouir du cul, espèce de putain que tu es !, me lançait la nurse perverse
    
    Je voyais très bien, c’était une première fois pour moi que de jouir ainsi, sans me caresser, ni me branler, juste en me ...
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