Un éléphant sa trompe énorme et ment
Datte: 06/07/2024,
Catégories:
fh,
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frousses,
extracon,
cocus,
Collègues / Travail
nympho,
jalousie,
odeurs,
Oral
init,
libercoup,
Auteur: Vopicek, Source: Revebebe
... sur ma fève, provoquant chez moi de violents tremblements de plaisir. Chacune de nous deux s’applique à faire jouir l’autre en premier. Les souffles sont plus rauques et saccadés, dans cette lutte, les mains sont en compétition, pelotant les bourgeons des seins offerts à la concupiscence.
La pression augmente, les pubis s’agitent comme de beaux diables et dans une gerbe finale, nos orgasmes éclatent dans un ensemble parfait.
Les mentons, mouillés par le jus du plaisir, se rapprochent, les nez viennent se délecter de leur propre odeur.
— C’est très bon, j’en avais besoin pour bien dormir, me confie Josseline. Alors tu es comme moi, tu fonctionnes aussi bien à voile qu’à vapeur.
— Pas tout à fait, moi, c’est aussi bien en surface que sous l’eau.
Malgré l’orgasme qui nous a un peu terrassés, on continue à nous faire des petits câlins, pas vraiment sexuels, car il faut laisser le corps se reposer. Il me semble qu’elle est, comme beaucoup d’hommes, sensible à mon odeur corporelle de rousse.
— Toi, tu es vraiment rousse de partout, tu ne te teins pas ?
— Non, je pense que les hommes et probablement certaines femmes aiment bien que l’ensemble soit naturel.
Elle loge alors sa tête dans le creux de mon épaule et elle écarte un peu mon bras pour pouvoir avoir accès à mon aisselle, de ses doigts malicieux, elle me chatouille sous les bras, mais si je trouve cela dur à supporter, je ne le manifeste pas. Ensuite, elle commence à me lécher l’aisselle, c’est mon point ...
... faible et je recommence à avoir fortement envie de baiser. À ce rythme, la nuit sera courte. Je comprends un peu mieux Jean-Louis, qu’après trois jours de nuits harassantes, il ait voulu un peu de calme.
Josseline descend le long de mon corps, puis prenant mes jambes, elle les replie et met mes genoux sur mes seins et j’ai l’impression d’avoir une position comme une grenouille et je lui présente ma touffe en plein. Comme une affamée, alors qu’on vient de consommer, elle replonge vers ma fente pour recommencer à me lécher assez violemment. Je reste étendue, je la laisse faire, c’est très bon.
Après quelque dix minutes ou onze, je n’ai pas chronométré, une nouvelle sensation de plaisir extrême se dessine, un nouvel orgasme me noue les entrailles et j’explose au milieu de milliers d’étoiles avec un rugissement.
— J’en peux plus, je dis égoïstement, je vais me coucher.
— Tu ne vas pas me laisser en plan.
— Oui, demain, je travaille.
— Salope !
— Utilise tes doigts, quand le cœur n’y est plus, c’est mauvais.
Le lendemain, aux premières heures, qui frappe à la porte ? C’est Jean-Louis, bandant comme un satyre échappé du bois sacré.
— Cela sent drôlement bon ici, je vois que vous vous en êtes bien données.
— Vois avec Josseline, moi, je suis hors service, je déclare, me sentant encore épuisée par le combat nocturne.
J’ai l’impression de suivre un stage de voyeurisme, tant la scène est hallucinante. Par-devant, par-derrière, violemment comme toujours, j’ai le ...