Un éléphant sa trompe énorme et ment - Histoires de Sexe

Un éléphant sa trompe énorme et ment

... la vois faire le chemin inverse, les traits tirés et fâchée. Le problème me semble se corser. Que se passe-t-il ?

Laissant Josseline rentrer dans la chambre, à mon tour, je vais toquer à la porte du commandant.

— C’est quoi ? Je ne peux pas être un moment tranquille ? fait une voix plutôt courroucée.
— C’est Clothilde, puis-je entrer ?
— Ah ! Excuse-moi. Je pensais que c’était quelqu’un d’autre et il vient ouvrir la porte.
— Entre !
— Quelqu’un d’autre ?
— Oui, Josseline, c’est une terrible saute au Paf, une affamée du sexe, à la limite nymphomane. Trois nuits de suite, j’aimerais quand même un peu dormir.
— Tu n’arrives pas à t’en débarrasser ?
— J’ai la faiblesse de répondre à ses sollicitations et avec son oncle amiral, elle me tient par les couilles, même si ce soir j’ai réussi à m’en débarrasser.
— Tu veux que je m’en occupe ?
— Non, c’est trop dangereux.
— Tu veux te reposer ? Ou si je peux rester pour plus, je lui demande en me rapprochant de sa couche pour l’embrasser.
— Laisse-moi pour ce soir, il faut que je récupère.

Dépitée, je ressors pour retourner dans ma cabine, j’y vois Josseline en tenue légère. Il n’y a pas à dire, elle est jolie.

— Alors, cela n’a pas marché avec toi non plus.
— Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
— Une nuit avec le commandant, pardi. Je sais tout.

Je me déplace et je m’assois au bord de son lit en la regardant dans les yeux avec un petit sourire en coin.

— Et alors ?

Sans attendre plus, elle se redresse et me ...

... prend la tête et me colle ses lèvres contre les miennes. Je sens sa langue chercher dans ma bouche. Elle la trouve et nos langues s’entortillent entre elles.

Elle m’ôte mon survêtement et j’apparais torse nu, seins à l’air.

— Ils sont attirants.

Délaissant ma bouche, elle se met à me téter furieusement, puis sa main écarte mon pantalon pour atterrir sur ma chatte.

— On va se débrouiller sans lui, s’il manque de ressource.

Je sens que je m’embarque dans une drôle de galère, mais mes souvenirs avec Agnès me poussent à mieux accepter que ceux que j’avais de l’amour lesbien avec Lina.

Si elle attaque si fort, je ne vais pas rester sans rien faire, à mon tour, je pars explorer son entrejambe en écartant sa nuisette. Cette belle noiraude a un magnifique minet tout blond, ses lèvres sont bien dessinées et bien gonflées, il y perle quelques gouttes de parfum intimes qui ne sont pas repoussantes, mais bien attirantes. Avec un doigt curieux, je parcours le sillon de sa figue, puis je présente le majeur à mon nez puis à ma bouche, tout cela me semble bien agréable.

— Pourquoi tu arrêtes, c’était bien bon.
— T’inquiète, je voulais juste savoir si cela valait un coup de langue et je pense que cela le vaut bien5.

Je me penche alors sur une petite fourrure un peu clairsemée, la langue en avant vers la genèse des plaisirs lèchebiens6. Elle de son côté est déjà à l’œuvre et me ripoline la moule d’importance. Parfois, quittant la source du jus délicieux, elle s’attarde ...