1. Marie du pont


    Datte: 15/07/2019, Catégories: fh, inconnu, jardin, collection, Oral pénétratio, Partouze / Groupe Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... les phares des voitures ressemblaient à un ballet de lucioles. Je fermai les yeux tant ces caresses m’électrisaient. Le quidam commença à bouger son bassin, faisant lentement coulisser en moi son pénis. On entendait seulement nos respirations et le chuintement de mon minou dégoulinant. Il imprima à son mouvement un tempo de plus en plus rapide et nerveux. La toile de son pantalon et le métal de la fermeture de sa braguette cognaient contre mon cul avec un bruit mat.
    
    Brusquement, ses mains quittèrent ma poitrine pour se cramponner à ma taille et, dans un grognement sourd, l’individu se plaqua contre moi, pour jouir au fond de mon ventre, répandant sa semence tiède. Les violents spasmes de sa verge provoquèrent chez moi un second orgasme. Il resta un bon moment scotché contre mes fesses, massant délicatement mes hanches, se délectant de la situation peu banale et sans doute, pour lui, inespérée.
    
    Avec précautions, il se retira et replongea à nouveau en moi. Il le fit trois ou quatre fois, je ne me souviens plus très bien. Puis, il se retira définitivement et ferma sa braguette d’un geste sec. Il ne prit pas la peine de rabaisser le pan de ma petite jupe, me laissant le cul à l’air. Une légère brise nocturne rafraîchissait ma motte humide. Le sperme qui glissait le long de mes jambes me chatouillait. Il passa à ma gauche et trifouilla dans mon paquet de Marlboro light.
    
    — Quel toupet ! Il me baise et fume mes clopes !
    
    L’œil toujours rivé au ruisseau, je ne voyais ...
    ... pas ce qu’il faisait. À ma droite, un « zip » me fit comprendre que le spectateur ouvrait son pantalon. Il empoigna mes cheveux et plaça mon visage pile-poil devant son entrejambe. Dans les trois quarts d’obscurité, je distinguai un superbe phallus dur et gonflé. Tandis que s’éloignait mon premier baiseur, le second imprima une pression sur mon crâne et son sexe entra lentement entre mes lèvres que je serrai instinctivement autour de son membre.
    
    — Bigre ! Quel nœud ! pensai-je.
    
    Cette fois, j’étais penchée sur lui, pliée en deux, les mains de chaque côté de son bassin, en appui sur le parapet. Je jouai de ma langue tout le long de sa tige, insistant sur son gland, jouant de mes lèvres. Avec fébrilité, il retroussa mon tee-shirt, libérant mes seins pour les caresser en tous sens.
    
    De temps en temps, quand j’ouvrais les yeux, je voyais le bout de sa cravate. J’avais à faire au jeune « Cadre Dynamique » du coin… Soudain, une main se posa sur le bas de mon dos. Je n’avais pas entendu le mec arrivé, occupée que j’étais à donner du plaisir avec ma bouche au jeune cadre dynamique.
    
    J’entendis le bruit du « zip » de ma mini-jupe et celle-ci échoua sur mes pieds. Et voilà, j’étais cul nu, le tee-shirt remonté jusqu’au cou. Le nouveau me caressa, me palpa des mollets jusqu’à la poitrine, sous toutes les coutures. Du coin de l’œil, je m’aperçus que sa peau était noire. Je pris conscience que pour la première fois, j’allais me faire sauter par un Black… Mon excitation s’amplifia ...