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Le manoir du péché (18)
Datte: 29/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds
... haut de sa fente. Une grosse larme claire suintait du minuscule orifice urinaire qui palpitait. Un jet violent éclaboussa le sol. Elle se laissa aller, les paupières closes, tout entière à son plaisir de s’exhiber salement. Le jaillissement de l’urine produisait un chuintement sifflant qui me faisait bander. Le jet s’éternisait en s’amplifiant comme chez les vaches. Sa giclée n’avait pas une forme régulière, comme celle qui sort d’un pénis. La fente entre les lèvres donnait à sa coulée l’aspect d’une lame. C’était très jaune, très dru. Une odeur de pomme me monta aux narines. Elle termina par quelques jets brefs et bruts qui fouettèrent le sol. Les deux femmes avaient les yeux rivés sur la bosse qui déformait mon pantalon. Je me sentais sous leur emprise. Elles allaient vouloir que je joue avec elles. J’en avais terriblement envie. Je m’abandonnai volontiers. La main de Claire remonta entre mes cuisses pour me caresser les couilles. Les doigts se resserrèrent sur ma verge. Je sentis d’abord un chatouillement, puis une forte pression sur ma tige qu’elle finit par étrangler. Elle prit alors l’initiative de mettre ma queue à l’air libre. Elle me tripota doucement, puis les serrant cruellement pour me faire éprouver un mélange de plaisir et de douleur. La patronne s’approcha à son tour, toutes deux m’empoignèrent la queue pour me masturber. La main de la patronne couvrant celle de Claire. Sur l’instant je me haïssais. Décidément les femmes me tenaient. Je ne ...
... pouvais me passer de leur compagnie. Rien d’autre n’était capable de me produire cet effet magique de plaisir. À cet instant, ce qui comptait, c’était le sexe, rien que le sexe. Je collais mon nez contre la soie trempée de la patronne tandis qu’elle me caresse la tête. - C’est bon ! Lâchait-elle, en s’éloignant. Allons sur le lit voulez-vous. Elle me fit m’allonger, et s’empressa à dire quelques mots à l’oreille de Claire, qui suite à cela vint jusqu’à moi. Je ne voyais plus son visage mais je sentais son souffle tiède sur mon sexe. Ses lèvres picorèrent de furtifs baisers et la pointe de sa langue pris le relais en suivant la longueur de ma chair. Sous l’excitation, elle en engloutit le gland en marmonnant des propos incompréhensibles. Tout à mon plaisir, je sentais sa langue suivre le frein et remonter jusqu’au méat qu’elle caressait doucement. Sa bouche accompagnait les caresses en aspirant doucement puis en descendant le long de la tige. Claire frémissait et il m’était maintenant difficile de retenir les mouvements qui agitaient mon bassin. Je sentais le fourreau de ses lèvres monter et descendre le long de mon sexe et sa main se saisir de mes bourses qu’elle faisait rouler entre ses doigts, sous les yeux témoins de ma patronne. Généralement habitué à maîtriser les rapports avec mes partenaires, je m’abandonnai cette fois avec un certain délice. Le caractère inattendu de l’événement freinait intellectuellement mes ardeurs, mais visiblement pas mon corps. Pour ...