1. Le manoir du péché (18)


    Datte: 29/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... s’introduire. Ma main se posa sur son sein. La pointe dure se dressait sous la fine cotonnade. Mais avec une incroyable vivacité, elle se dégagea.
    
    -C’est plus le moment !
    
    Elle remarqua la bosse qui déformait le devant de mon pantalon. Avant de refermer la porte, elle me fit une suggestion : -Malgré que !
    
    Puis elle se débarrassa de sa robe à grands gestes, face à moi. Comme une seconde peau, sa culotte moulait sa motte avec précision. Sa fente s’étirait très haut entre ses grandes lèvres rebondies. J’y passais négligemment le doigt, je lui montrais une tache sur le tissu, juste entre les cuisses.
    
    Elle réagissait en avançant le bas-ventre de façon à accentuer la pression de l’index sur ses chairs intimes. Parcourant la fente sur toute sa longueur, j’appuyais pour y enfoncer l’étoffe. Quand je trouvais le clitoris, je le grattais de la pointe de l’ongle. Plus bas, la tache humide s’élargissait sur le coton. Et les pointes des seins se dressaient.
    
    Les mains dans le dos, la patronne se laissait masturber, n’essayant nullement de maîtriser sa respiration oppressée.
    
    Puis elle me prit par la main, m’entraîna jusqu’à la chambre accolée à la sienne. Claire, la femme de service, s’y trouvait, déguisée en écolière. Ave une très courte robe, des chaussettes blanches et un nœud dans les cheveux. Cette fausse fillette avait quelque chose d’incongru mais de terriblement excitant.
    
    Claire leva la tête, prit un air intrigué. Puis elle se leva pour s’approcher avec une ...
    ... feinte timidité. Sa robe était si courte qu’elle couvrait à peine le haut de ses cuisses. Elle me toisa, indécise, se dandina gauchement. Puis elle se troussa jusqu’au nombril avec une lenteur volontaire. Dessous, elle portait une épaisse culotte de coton blanc. Puis elle m’exhiba sa vulve.
    
    Je ne pus me retenir de me mettre à genoux devant elle, le visage à hauteur de sa vulve. Ses cuisses se hérissaient de chair de poule. Elle écarta largement les cuisses, son sexe s’ouvrit comme un fruit mûr. Ses petites lèvres se défroissèrent, puis se déplièrent comme des pétales. En haut, le clitoris dépassait déjà de son capuchon.
    
    -Renifle-la ! Dis-moi si elle sent la cochonne.
    
    Malgré mon précédent orgasme, ma verge gonflait dans mon slip, je me penchais très bas. Mes narines frôlèrent les petites lèvres. L’odeur de marais qui me monta à la tête m’enivra sur-le-champ.
    
    Les languettes des muqueuses autour de la fente étaient si visqueuses que je dus les pincer pour tirer dessus. Je découvrais l’entrée du vagin dans le losange de chair luisante. Elle respirait très fort.
    
    -Alors elle put ?
    
    J’avais appris que chez ma patronne, la vulgarité du langage accompagnait toujours la montée de l’excitation. Très excité moi aussi, j’approchais le nez plus près encore des replis de la chatte. Mêlé à l’odeur saline de la mouille, je décidai un arrière goût ammoniaqué d’urine.
    
    Claire écarta les cuisses en compas devant mon visage. Son clitoris se dressait comme un ergot de chair crue en ...
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