1. Table en sapin...(20)


    Datte: 28/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... manque….
    
    Je plaçais alors mon visage entre ses cuisses. J’embrassais et léchais la peau si sensible à l’intérieur des cuisses. Ma langue s’égarait sur sa figue plus que mûre, survolait son anus puis vint lécher ses grandes lèvres sur toute leur longueur, de bas en haut, en prenant soin de ne pas toucher à son clitoris, certainement hyper sensible.
    
    Je voyais ses mains venir se poser sur ses seins qu’elle avait libéré, et se les malaxer, en faire tourner les tétons, les étirer entre ses doigts. Je la laissais faire, de toute évidence, ce traitement participait à son excitation.
    
    Je continuai ce manège pendant de longues minutes, jouant de son attente, d’un rythme sans cesse modifié. Je posais ma langue sur son anus au goût amer, le titillais, passais sur l’entrée de son vagin dans lequel je me délectais un instant, et vins pour son plus grand bonheur effleurer son clitoris.
    
    Je la sentais frémir, commencer à se tétaniser, elle poussait le bassin en avant, j’avais à peine le temps de rouler ma langue autour de son clitoris qu’elle partait dans un hurlement déchirant, son corps secoué de convulsions ...
    ... incontrôlables et incontrôlées. Je sentais sa cyprine s’écouler sur mon menton, alors que son corps s’arqué.
    
    Il était temps pour moi de penser à mon plaisir. À peine avais-je approché mon gland de la fente qu’elle m’enserrant de ses jambes en tenailles, me tira de toutes ses forces pour m’enfoncer en elle jusqu’à la garde.
    
    La chaleur nous irradia, pubis contre pubis. Nous baisâmes sans retenue, haletants, souffles courts. J’accélérais, m’enfonçant à chaque coup de reins au plus profond de son être. Isabelle ponctuait de cris à chaque coup de butoir. De mon côté, je gémissait aussi, couché sur elle, jusqu’à la longue et prodigieuse décharge qui nous laissa rompus.
    
    Demeurés quelques instants l’un dans l’autre, essoufflés, feu aux joues, nous partîmes dans un grand éclat de rire libérateur. Après avoir remis de l’ordre sur le lit, avec Isabelle nous nous étions rajustés, nous nous errâmes maintenant dans une embrassade où la tension sexuelle résolue avait fait place à la tendresse.
    
    Isabelle avait insisté pour nous retrouver le lendemain. Nous nous retrouvâmes encore plus assoiffés l’un de l’autre. 
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