Léa, ma belle-fille 2
Datte: 26/06/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... Magnifiquement nue et transpirante dans l’habitacle surchauffé dont les vitres se sont couvertes de buée, elle jouit une ultime fois, ma queue enfoncée dans son vagin qui m’arrose de son délicieux suc de femme.
Ça sent le foutre dans la voiture ! On aère tout d’abord, puis on fume vitres fermées. Le siège n’a pas trop souffert. Une dernière fois j’admire le corps superbe de Léa.
- « Je ne peux pas te photographier, mais je veux garder ton image gravée au fond de moi ! Tu es devenue si belle que je serai jaloux de tous les hommes qui t’approcheront. Tu m’a fais un magnifique cadeau, comme peu d’hommes en ont eu ! »Léa m’étreint. Elle est aussi émue que moi et nos larmes se perdent dans un baiser profond qui dure longtemps, longtemps... Enfin, il est temps de se rhabiller. La fin du trajet se passe à nouveau dans un silence pesant. Je roule lentement comme pour prolonger éternellement ce moment de bonheur intense.
Arrêté devant la maison, avant de descendre de la voiture, on se regarde en silence. On scelle ainsi cet accord qui nous déchire, mais qui est le seul possible. J’ai envie et Léa sûrement aussi de la serrer une dernière fois dans mes bras. Mon cœur bat comme un fou. Heureusement, ma femme qui a entendu la voiture, ouvre la porte de la maison, se dirige vers nous et interrompt involontairement ce moment.
Après avoir vidé la voiture et rangé le matériel, c’est la fameuse surprise quand on tombe sur la photo de nous deux, encadrée. On réussit à se ...
... reprendre et on se pose, enfin on s’affale dans le canapé du salon. Vidés autant du voyage, de la semaine de ski, de nos folies sexuelles, mais surtout de la forte émotion des dernières heures.
Malgré cela, ma femme nous trouve resplendissants, quoi que fatigués ! Il faut absolument qu’on lui raconte notre séjour. Heureusement, les matinées de ski se transforment facilement en journées. Le couple est non seulement collant, mais devient dans le récit, quasi permanent et la longueur du retour est justifiée par une sieste imposée par la fatigue de la conduite et le changement d’altitude.
Avant le coucher, je prends une longue douche, effaçant toute trace pouvant rester de nos amours. Au lit, ma femme est motivée.
- « Une semaine sans toi ! J’ai trouvé le temps long ! Viens ! Fais-moi l’amour ! »Essayant d’estomper les images de Léa je rends hommage à ma femme. J’adore lui faire l’amour et peu à peu je retrouve les bons gestes pour la faire jouir. Je lape avec toujours autant de plaisir sa chatte qui coule et elle crie quand, d’une levrette un peu brutale, je l’emmène au plaisir.
« Tu ne trouves pas que Léa a changé cette semaine ? Me dit-elle alors que nous reposons serrés l’un contre l’autre.
Comment ça ?
Je la trouve mûrie, grandie, plus joyeuse.
C’est vrai qu’elle a fait de gros progrès au ski et maintenant passe partout avec assurance. Mais c’est vrai aussi qu’on a beaucoup parlé entre nous.
Ah bon ? Et de quoi ?
De ses problèmes de jeune fille, de nos ...