1. Léa, ma belle-fille 2


    Datte: 26/06/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Yan Loutort, Source: Hds

    ... sans coup férir au fond de mon cul. La cochonne m’encule énergiquement. Je sens le plaisir monter dans mes reins. Je lui demande d’arrêter car sinon je vais jouir et ne serais plus bon à rien.
    
    - « Fais-moi plaisir ! Je veux te voir jouir comme ça ! Je te réveillerai cette nuit et demain matin, je suis sûre que tu seras opérationnel ! »Elle m’achève alors en accélérant le rythme. Me prend la bite en main et ne tarde pas à me faire éjaculer.
    
    J’ai un peu honte ensuite de m’être laissé faire et de m’être montré dans cette posture pas très virile, mais Léa me rassure très vite en me remerciant chaleureusement de lui avoir permis cela.
    
    « Tu ne garderas pas l’image de ton beau-père, le cul en l’air, un gode enfoncé dans les fesses et jouissant ainsi, comme une femelle ?
    
    Non ! Je garderai l’image d’un accord total entre nous et j’espère trouver un jour un amant qui soit à ta hauteur et qui accepte tout ce que tu m’as appris pendant cette merveilleuse semaine ! »C’est un peu émus, les larmes au coin des yeux, qui nous nous enlaçons, nous embrassons et nous endormons. J’ai rarement connu un tel moment de communion et il faut que cela soit avec ma belle-fille ! J’espère moi aussi qu’elle connaîtra cela plus tard avec d’autres amants.
    
    Nous sommes un peu fatigués et tristes, le samedi matin. Ce soir nous reprendrons la vie normale et les rapports normaux entre beau-père et belle-fille. Il faudra ranger au placard ces merveilleux moments. Nous passons la matinée à nous ...
    ... caresser, nous embrasser, à pleurer aussi. En une semaine, Léa s’est transformée, c’est frappant. On est maintenant très proches, et pour cause !
    
    Après le repas, nous passons deux heures à tout nettoyer et ranger avant de rendre les clés. Au moment de passer la porte, Léa se jette à mon cou et m’embrasse fougueusement. « Merci ! Merci pour tout ! Je n’oublierai jamais !» Moi non plus je n’oublierai jamais.
    
    Dans la voiture, nous avons plus de trois heures de route, les premiers kilomètres dans la descente de la station, se font dans un silence pesant. Arrivés dans la plaine, Léa s’endort. Après deux heures de temps je m’arrête pour une pause. Café, toilettes et on repart. Au moment ou nous quittons l’autoroute. Léa pose sa main sur mon bras.
    
    « Avant d’arriver… J’ai envie… Une dernière fois…Ce n’est pas raisonnable.
    
    On a dit jusqu’à samedi soir. Tout à l’heure tu vas retrouver maman, mais jusque là…C’est de la folie ! A ce compte là on n’arrêtera jamais ! Il y aura toujours un prétexte ! Il vaut mieux rester comme ça !
    
    S’il te plaît ! Mon papa chéri ! Je te promets que c’est bien la dernière ! J’ai appelé mon copain, le vieux de vingt cinq ans, Je le vois demain et je pense qu’il a très envie de me baiser ! Depuis le temps qu’il attend !... Tiens ! Regarde ce chemin, là ! Vas-y ! »Au fond du chemin, sous les arbres, nous allons faire l’amour une dernière fois. Inconfortablement on va se sucer, se lécher, et puis, à cheval sur mes cuisses elle va me chevaucher. ...
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