Petite Annonce très ciblée - Histoires de Sexe

Petite Annonce très ciblée

... différentes. Oui, je reconnais qu’avoir le choix est assez pratique et que ça ouvre bien des portes pour divers jeux. Mais n’allons pas trop vite.

— Je te confirme que tu es magnifique et que tu ne me choques pas.
— Je… je vous remercie, Maître.

Je joue ensuite un peu avec ses tétons, afin que ceux-ci durcissent, érigeant deux pointes bien marquées. Là aussi, je constate qu’il y aura de quoi faire.

Je m’empare d’un martinet noir muni de nombreuses lanières. Ma soumise frémit. Elle ignore sans doute que plus il y a de lanières, moins c’est douloureux. De plus, la matière utilisée n’appartient pas à la variété cruelle. Du poignet, sans forcer, je cingle la poitrine offerte, dessus, dessous, sur les côtés, presque une caresse, en peu plus piquant.

Elvira se détend, constatant que je ne cherche pas à jouer les sadiques avec elle. Le martinet descend sur son ventre puis ses cuisses. Quelques instants plus tard, il remonte lentement afin de s’occuper à nouveau de la poitrine dénudée.

Il est temps de passer à autre chose, je repose le martinet là où je l’avais pris. Je jette un coussin aux pieds de ma soumise, puis j’ordonne :

— Agenouille-toi.
— Bien, Maître.

Elle s’exécute, se tenant droite sur le coussin. Une fois de plus, je tourne autour d’elle, puis revenu devant Elvira, je dis :

— Répète après moi : je suis la soumise de mon Maître.
— Je suis la soumise de mon Maître.
— Il ordonne et j’obéis.
— Il ordonne et j’obéis.
— Très bien. Mon seul ...

... plaisir est de lui faire plaisir.
— Mon seul plaisir est de lui faire plaisir.
— Très bien. Répète tout.

Docilement, elle énonce les trois phrases :

— Je suis la soumise de mon Maître. Il ordonne et j’obéis. Mon seul plaisir est de lui faire plaisir.
— Très bien. Ceci est ta profession de foi. Et pour marquer ta soumission, dépose un baiser sur chacune de mes chaussures.

Obéissante, elle baise les deux pointes propres de mes chaussures, lustrées pour l’occasion.

— Lève-toi, mets-toi debout, tu as bien obéi. Félicitations.
— Merci Maître.

Lentement, elle se redresse, étant à nouveau debout, face à moi. J’attends un peu avant de dire :

— Dans ce cas, passons à l’étape suivante, ma petite Elvira… Ton seul plaisir est de me faire plaisir. Ce qui n’empêche nullement ton plaisir à toi.
— Je ne comprends pas, Maître…
— Je t’explique ça tout de suite.

Glissant ma main sur ses fesses puis vers sa chatte, je commence à la masturber tandis que je joue avec ses tétons, les étirant, les pinçant, les vrillant. Ma soumise frémit sous cette double attaque, mes doigts taquinant férocement son clitoris déjà humide. Elle murmure :

— C’est… c’est vicieux, ce que vous me faites là !
— Ça peut l’être encore plus !

Joignant le geste à la parole, je m’empare d’une pince à linge que j’avais glissée avec ses sœurs dans ma poche, puis je l’accroche au bout d’un téton. Elle pousse un petit cri, mais ne prononce toujours pas le mot qui pourrait la délivrer.

Puis, je fais de ...