La conférence téléphonique
Datte: 15/07/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Aftershave, Source: Hds
... exceptionnelle.
Le maître entraîne Fred, flambant nu, dans la petite pièce.
— Tu sais qu’on peut peut-être te voir et t’entendre!
De retour dans le salon, le maître s’étend sur le grand divan, un coussin derrière la tête afin de le rapprocher de son objectif… Il ordonne à l’esclave de le chevaucher, d’ouvrir les cuisses et de s’accroupir sur lui, offrant ainsi ses couilles bien dilatées sa bouche avide. Ainsi positionnées, celles-ci pendent davantage et s’offrent à la gourmandise du maître. Le soumis s’exécute, les deux mains appuyées au mur, les couilles à portée de la bouche de son maître… il lâche soudain un cri de surprise alors que Al aspire une couille dans la bouche, la baigne de salive, la ramène entre ses dents, la mordille jusqu’à créer cet état mitoyen entre plaisir et douleur qui fait le ravissement de l’esclave et du maître. L’autre couille subit le même sort… puis le maître engouffre toute la petite poche et ses deux œufs sur lesquels la langue s’attarde, lèche, caresse… mais le maître sait que ça ne suffit pas… pour arracher des râles de plaisir à son esclave, les dents doivent entrer en action, et mordiller et écraser légèrement. Les deux complices poursuivent leurs ébats, le maître tourmentant son soumis qui se tord de plaisir, sans s’inquiéter que ses râles puissent être entendus des inconnus dans le parc.
— Ça fait mal, Fred ?
— Oh ! oui, maître, mais c’est si bon ! Encore, encore s’il te plaît. Ouf ! Maître, c’est vraiment ...
... intense…
*****
— Quelle heure est-il ?
— Onze heures moins dix.
— Ma conférence téléphonique commence dans 10 minutes.
— Veux-tu t’isoler dans mon bureau ?
— Non ! Non ! Ça n’est pas nécessaire. Je vais surtout écouter, il y aura beaucoup de monde et nous ne sommes que des participants.
Fred, toujours complètement nu, pose son téléphone sur une petite table près du divan et avant d’installer les écouteurs dans ses oreilles, dit :
— Tu peux faire ce que tu veux avec mon corps… ça ne me dérange pas !
Pendant une demi-heure, le maître parcourt, fatigue et abuse du corps de son esclave… il lui inflige un vigoureuse fessée, jusqu’à ce que les fesses rougissent, il les mord laissant la trace de ses dents s’inscrive dans la chair… il suce les tétons de son prisonnier, les mordille jusqu’à ce qu’il voit le visage de son esclave se crisper… mais celui-ci tout à son écoute ne proteste pas et demeure résiliant… Et sa queue bandée atteste qu’il ne veut pas que ça cesse, son gland gonflé coule abondamment. Devant autant de docilité, le maître s’absente quelques instants… Et, puisqu’il a maintenant ce qu’il lui faut à portée de main… Un peu de lubrifiant sur le majeur et direction le petit cul… Celui-ci comme d’habitude est extrêmement serré… Le doigt s’attarde sur la rondelle fermée, caresse l’entrée chaude de l’anus avec le lubrifiant, pousse un peu malgré la résistance des muscles du sphincter externe. Il faut plus de lubrifiant, cette fois le bout du doigt pénètre les petits ...