1. La conférence téléphonique


    Datte: 15/07/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Aftershave, Source: Hds

    ... inévitable et je le sais, et j’ose le dire, je l’espère…Al, tire une chaise et s’assoit près de la petite table de cuisine et me demande d’approcher.
    
    Je lui obéis sur le champ comme poussé par une force à laquelle je ne peux m’opposer. Alors qu’il meraconte comme si de rien n’était le souper qu’il prépare pour ses invités, je sens ses mains qui retirent ma ceinture. Bientôt, c’est le bouton de mon jeans qui saute, ne laissant comme seul obstacle entre ses grandes mains chaudes et mes hanches, la fermeture-éclair de mon pantalon.
    
    Je reste là, m’offrant à lui, rendu impuissant, et anticipant le plaisir des caresses à venir, la sensation de chaleur de sa bouche, mais surtout peut-être le tourment de certaines des pratiques brutales que mon maître affectionne tout particulièrement. Je sens maintenant le désir monter en moi, mon gland se gonfle, se dilate. Mes couilles s’emballent et sur mon slip une petite tache d’humidité apparaît, s’agrandit… le précum a commencé à couler. La tension sexuelle est palpable, ça sent le sexe débridé…
    
    *****
    
    Al a remarqué en me déshabillant que la tondeuse était passée sur ma toison pubienne. Il ne reste que quelques millimètres de poils bruns au-dessus de ma verge bien bandée. Je sens ses doigts qui se promènent doucement le long de mon slip, qui s’introduisent entre mes cuisses et viennent serrer mes couilles. Celles-ci sont complètement à nu, douces et lisses… Je les imagine déjà se faire aspirer de force dans la bouche de mon ...
    ... maître. C’est un des caprices les plus délicieux de mon maître. Mais je sais qu’il exige de moi une retenue et une obéissance exemplaire quand il se livre à ce festin. Je ne dois pas me plaindre ni trop gémir de plaisir quand il les prend une à une dans sa bouche chaude, et qu’il les presse avec sa langue afin de m’infliger douleur et jouissance.
    
    Alors pendant de longues minutes, il s’offre un de ses plaisirs préférés, manger mes couilles…
    
    Maintenant bien dilatées, rondes et parfaitement exposées, mes couilles se balancent devant la bouche affamée de celui que je ne peux, dans ce moment de grande excitation qu’appeler Maître.
    
    Al m’ordonne alors de le regarder dans les yeux pendant que je me tords de douleur et de plaisir.
    
    Il profite à fond de ce moment, comblé de voir son élève lui obéir, sans aucune pudeur, les cuisses bien écartées, la verge gonflée et le gland mouillé par le nectar qui s’écoule du méat.
    
    — Quand t’es-tu rasé les couilles ?
    
    — Ce matin même, en prenant ma douche. Je l’ai fait pour toi, maître, je sais que tu les aimes comme ça !
    
    — Passons aux choses sérieuses, j’ai besoin que tu t’abandonnes complètement à mes pulsions et à mes désirs, passons au salon !
    
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    Ce matin, le soleil est radieux et ses rayons pénètrent jusqu’au fond de la grande pièce. Les portes françaises du solarium sont grandes ouvertes offrant une perspective sur le parc et ses bancs où sont installés de parfaits inconnus qui profitent de la chaleur de cette matinée ...
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