1. Les bons amis


    Datte: 15/07/2019, Catégories: ff, ffh, fépilée, vacances, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral nopéné, jeu, init, confession, couple+f, Auteur: Marine S, Source: Revebebe

    ... l’après-midi même, elle était entrée sans frapper dans la salle de bain peu avant le dîner, alors que je prenais une douche, prétextant d’y chercher quelque chose, ce qui déjà était étonnant de sa part, et j’avais été un peu intriguée et troublée par le regard qu’elle avait porté avec une certaine insistance sur mon corps, semblant en détailler chaque partie. Je m’étais sentie rougir.
    
    Elle a commencé à faire aller ses mains très doucement le long de mes cuisses, insistant sur l’intérieur, passant sous mes fesses ; puis ses doigts ont commencé à jouer avec mon sexe.
    
    Je mouillais de plus en plus et ses doigts légers et rapides qui parcouraient ma fente de haut en bas tout en s’enfonçant chaque fois plus avant dans mes muqueuses, n’avaient aucun mal à se mouvoir et faisaient rapidement monter mon excitation.
    
    Philippe qui accompagnait la caresse de sa femme d’autant de caresses expertes sur mes seins, pinçant judicieusement les bouts dressés, parcourait la peau de mon cou et de mes épaules de ses lèvres, déclenchant de petits frissons qu’accentuait le léger souffle chaud de la brise. Je sentais son sexe dur dans mon dos.
    
    Voyant mon excitation grandir, Catherine s’est mise en position pour me caresser avec sa langue. Me forçant à m’ouvrir largement et me tendre vers elle en me saisissant sous les genoux, elle a d’abord promené sa langue d’arrière en avant et retour, prenant son départ entre mes fesses où elle savait s’attarder avec délices pour venir ensuite chercher ...
    ... mon clitoris, l’aspirer entre ses lèvres tout en le branlant, puis s’éloigner un peu à nouveau en redescendant en arrière pour mieux revenir.
    
    Ces quatre mains sur mon corps, cette langue et les lèvres de Philippe me mettaient dans un état tel que je n’allais pas pouvoir me retenir longtemps.
    
    Sans pudeur, je tendis de moi-même tout mon bassin pour presser mon sexe contre la bouche de Catherine qui avait maintenant passé ses mains sous mes fesses et les tenait fermement ; je m’ouvrais de moi-même le plus largement possible. De ses deux pouces, elle écarta bien les lèvres de mon sexe pour faire saillir mon clitoris.
    
    Très vite, je me suis mise à jouir dans un long cri qui s’est trouvé juste atténué par la bouche de Philippe à laquelle sans réfléchir à ce que je faisais – j’en étais incapable – j’avais collé la mienne pour un baiser fougueux à la hauteur de mon orgasme.
    
    Elle sut m’amener jusqu’au bout de mon plaisir en l’accompagnant de sa langue visiblement expérimentée et de ses caresses sur mes cuisses et mes fesses. J’en avais la chair de poule tellement le plaisir était puissant. J’avais été tout simplement incapable de me retenir et je ne me souviens pas avoir jamais joui aussi violemment et intensément, complètement allongée et ouverte, oubliant toute pudeur. Sans doute l’effet de surprise et la rapidité avec laquelle tout s’était enchaîné y étaient pour quelque chose.
    
    Retrouvant un peu de lucidité sur la situation, sur ce que je venais de faire et la position ...