1. Les bons amis


    Datte: 15/07/2019, Catégories: ff, ffh, fépilée, vacances, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral nopéné, jeu, init, confession, couple+f, Auteur: Marine S, Source: Revebebe

    Ce qui s’est passé ce soir de l’été dernier est arrivé très vite et de façon totalement inattendue. Jamais je n’avais vécu une telle situation et jamais je n’y avais même pensé.
    
    Nous venions de passer quelques jours dans la petite maison d’un couple d’amis dans le Vaucluse où, comme un rituel, nous nous retrouvons depuis quelques étés avec un autre couple d’amis. Nous sommes des mêmes âges avec des enfants devenus adultes et partis de la maison, et nous nous entendons très bien. Nous nous connaissons depuis une dizaine d’années, mais cela ne fait que trois étés que nous passons ainsi tous les six une petite semaine.
    
    Mon mari, qui devait reprendre le travail, était reparti dans l’après-midi, profitant de la voiture de nos autres amis, et moi je prolongeais de deux jours pour revenir avec les amis propriétaires de la maison.
    
    Après le dîner, nous avions passé un très agréable moment à bavarder tous les trois sous la tonnelle, la nuit tombée, dans la douce chaleur de fin d’été, au milieu des cigales qui s’étaient tues depuis un moment déjà. Leur petit vin de pays pris à table était très agréable, nous nous sentions bien. Tout était calme autour de nous.
    
    La soirée était déjà bien avancée quand nous nous sommes levés pour aller nous coucher. Catherine s’est approchée pour me souhaiter bonne nuit et Philippe, qui était auparavant assis sur un canapé de jardin à côté de moi, se tenait debout derrière en attendant son tour.
    
    Il était tout près et j’ai senti ses mains ...
    ... se poser sur mes épaules et descendre dans une douce caresse le long de mes bras, ce qui m’a fait agréablement frissonner. Je l’ai perçu comme un geste naturel et affectueux alors qu’il attendait pour me souhaiter bonne nuit, et je n’en ai été ni surprise ni offusquée.
    
    Alors que Catherine m’embrassait sur les joues, me prenant affectueusement la tête entre ses mains, j’ai senti tout à coup les deux mains de Philippe s’insinuer dans l’échancrure de ma robe légère, ample et sans manches et m’effleurer les seins (je ne porte jamais de soutien-gorge, inutile vu la taille de mes seins).
    
    Électrisée, j’ai senti mes bouts durcir immédiatement d’excitation sans que j’y puisse rien.
    
    — Dis donc, Philippe, faut pas te gêner ! ai-je dit sur un ton amusé dissimulant à peine mon trouble, sans pour autant me dégager, pensant que c’était juste une petite familiarité et ne voulant pas apparaître comme trop prude.
    
    Voyant que je ne le prenais pas plus mal que ça, il s’est enhardi en prenant carrément chaque sein dans une main.
    
    — Très mignons et bien fermes, tes petits seins. Et ils ont l’air d’apprécier, dis-moi !
    
    J’étais complètement prise de cours, ne sachant plus ce qui se passait. Au même moment, Catherine en me souriant passait doucement ses mains dans mon dos nu et les laissait descendre lentement dépassant le niveau de ma taille pour me caresser les fesses par-dessus le mince tissu.
    
    Je ne maîtrisais plus rien de la situation.
    
    Dans sa position, Catherine me serrait ...
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