Le cadeau de Laurie - Histoires de Sexe

Le cadeau de Laurie

... sentir la chaleur de mon foutre, elle me traitait d’impuissant, comment la laisser dans cette attente ? Comment ne pas avoir de vider ses couilles en elle ?

— Allezzzzz ! Vide tes couilles ! Ensemence-moi ! donne-moi ton jus ! Fais-moi jouir (ga je ballen leegmaken ! Zaad mij ! Geef me je sap ! Laat me klaarkomen) !

Alors j’eus pitié d’elle…

— Ah, tu es un monstre ! je sens que ça monte… !

Et me laissant aller, je me relâchai et vidai mes testicules ensemençant de sperme la mouille qui sourdait de sa vulve et engorgeait le fond de son vagin.

— Oh, je cumshot in mijn vagina maakt me gek ! We voelen de warmte van je sperma zich verspreiden (oh ! ton éjaculation dans mon vagin me rend folle ! Je sens la chaleur de ton sperme se répandre) !
— Het is een genoegen om mijn ballen in je kut te legen, mijn liefste (c’est un plaisir de vider mes couilles dans ton con, ma chérie) ! lui murmurais-je.
— Oh ! Vulgaire zwager ! als ik een lul had, verzeker ik je dat ik niet zou aarzelen om hem in je kont te steken (oh ! Vulgaire beau-frère ! Si j’avais une bite, je t’assure que je n’hésiterais pas à te l’enfoncer dans le cul moi aussi) !
— J’aimerais peut-être bien cela ! Une sodomie par une belle-sœur ! Malheureusement, tu n’as pas ce qu’il faut pour ça ! rétorquais-je !

***

Je revins le lendemain matin. Éric était parti et Laurie était seule. Elle me regarda avec un petit air complice :

— Alors le spectacle t’a plu hier matin ? J’ai l’impression que tu n’es ...

... pas resté de marbre !
— Ah ? Je ne vois pas ce que tu veux dire !
— Oh, hypocrite ! j’ai bien vu que tu nous regardais hier matin, et tu es resté jusqu’à ce que mon mari éjacule en moi ! Tu m’as rendue folle à nous regarder ! J’ai vu qu'Éric s’était rendu compte que tu le regardais, mais il a continué, excité que tu regardes son sexe me pénétrer.

Je la regardai avec un petit sourire !

— Ah, tu as vu ! Mais je t’assure que si tu avais été sur ton mari et que tu avais présenté tes fesses, je t’aurais prise par-derrière en même temps que lui !
— Ohhh ! tu es un monstre, toi ! Je dois dire que je n’ai pas encore essayé cela !

Puis, changeant de sujet :

— Daniel, viens voir ! j’ai continué à ranger les livres et je suis tombée sur deux petits carnets assez intimes qui doivent dater de mes arrières grands-parents !
— Ah, tu sais, cela existe dans toutes les familles ces petits cahiers secrets ! D’ailleurs, ne sommes-nous pas nous-même occupés à en écrire un nouveau ?
— Oui, tu as raison, mais je me demande si je dois y raconter tout ce que nous faisons à deux ! Tu sais, entre beau-frère et belle-sœur, c’est quand même considéré comme un inceste !
— Laurie, moi, je raconte tout, même les détails intimes avec toi, et tant mieux pour la personne qui le découvrira plus tard et le lira ! Il verra que nous n’étions pas des complexés !
— Ça me fait quand même peur, Daniel, si quelqu’un de la famille trouvait cela ! …
— Et que racontent ces petits carnets, Laurie ?
— ...