Le cadeau de Laurie - Histoires de Sexe

Le cadeau de Laurie

... Attends, je vais te lire un passage, mais c’est assez… euh… Intime ! C’est le livret de mon arrière-grand-père Livio qui a épousé Lenny, mais ils ont eu chacun une relation avec leur cousin et cousine Diane et Lucas. Ici, c’est Livio qui parle de sa cousine Diane.

Laurie alla chercher un petit carnet entoilé dans le tiroir de son bureau. Celui-ci possédait une petite serrure qui permettait de le fermer, mais dont la clef manquait. Laurie l’ouvrit à la page où se trouvait un signet. La calligraphie était magnifique, écrite encore à la plume.

Elle attendit un moment et commença à lire :

Laurie me regarda avec curiosité après avoir lu ce petit passage.

— Alors, mon beau-frère, tu en penses quoi !
— Tonnerre ! C’est du pur porno cette histoire !
— Ah parce que tu crois qu’ils étaient plus sages que nous il y a cinquante ans ? Écoute le passage écrit par la cousine Diane à la même date :

Laurie s’arrêta en me regardant…

— Eh bien ! Ils ne s’ennuyaient pas ces cousins ! dit Daniel…
— Et nous, on s’ennuie ? demanda Laurie. Nous, en plus on ne s’ennuie pas, et en plus on pratique l’inceste, ce qui n’était pas le cas chez eux ! Moi je les admire d’avoir fait ça à cette époque ! Mais c’était aussi un échange entre cousins et cousines comme nous entre beaux-frères et belles-sœurs !
— Parfois, Diane complète au fil des jours ce qu’elle ressent, parle de ses envies et de son cousin Livio et de Lenny ! Les deux cousines entretenaient aussi des relations charnelles ...

... ! Écoute ! :
— Mon Dieu, elles ont eu de la chance de ne pas se faire prendre ! À cette époque, elles auraient terminé leur vie au couvent !
— Oui, je crois aussi ! Tu me passeras les livrets, je les lirai ce soir ! dit Daniel en regardant Laurie.

Alors me tournant vers elle et reprenant la conversation interrompue, je lui demandai dans sa langue maternelle :

— En jij, heeft iemand het aangedurfd om je te sodomiseren (et toi, est-ce que seulement quelqu’un a osé te sodomiser) ?

Laurie se tourna vers moi :

— Oui, plusieurs ont essayé, mais la brutalité qu’ils ont employée m’a rebuté, et j’ai refusé ! Pourtant j’aimais beaucoup l’idée. J’imaginais l’introduction délicate, tu sais le moment où l’on sent cette prise de possession de l’homme, son corps qui se couche sur ton dos, te couvrant entièrement, son érection qui se plaçait face à tes fesses, cette matraque de chair oscillante, laissant déjà perler un début de sperme, puis le glissement du gland et cet enfouissement du cylindre de chair qui te disjoint les fesses et s’enfonce, s’encastre dans ta gaine anale.

Sa voix prenait des tonalités anxieuses qui rendaient compte de son stress et de ses envies. Alors elle se livrait encore plus :

— Puis, l’été passé, nous sommes allées avec mes sœurs Lise et Sylvie à Amsterdam. On en a profité pour aller voir quelques films un peu hard, et le soir on a aussi assisté à quelques shows réels avec de vrais acteurs. C’était affolant de réalisme, et souvent, dans mes ...