Les voyages de Madame Montagne
Datte: 20/06/2024,
Catégories:
ff,
grp,
fbi,
frousses,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
caresses,
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
attache,
init,
conte,
fantastiqu,
fantastiq,
contes,
Auteur: EdenPlaisirs, Source: Revebebe
... Hélis, je crois, ou s’agit-il de Milos ?
— S’il vous plaît. Détachez-moi !
— … et après nous…
— Ça suffit !
— … te détacherons…
Saletés de piquets ! Ils ne sont pas si bêtes ces gens. Les pieux bougent, mais restent bien plantés.
— Enlève tes pattes de là !
Mélios ou Héliés a la main sur mon pubis et ses doigts tirent sur mes poils. J’ai beau ruer comme une furie, je reste collée à ce fichu sable. Quand Ulla enlève son espèce de toge de toile, je ne peux m’empêcher de penser qu'elle est très jolie. Étonnamment petite et gracile, mais jolie. Maintenant qu’Ulla est nue, sa copine retire à son tour sa tenue et le dénommé Milés se débarrasse de la sienne.
— Non c’est…
Ulla et Tali ont délaissé mes aisselles pour s’intéresser à mes seins et leurs petites mains ne se gênent pas pour les caresser. Chaque fille s’occupe du sien sans me demander mon avis.
— Ils sont énormes. Tu sens, Tali ?
— Oui. Tout gonflé et c’est lourd… Et les bouts, t’as vu ?
— Ulla !
J’éprouve une nouvelle bouffée de migraine diffuse et des fragments de pensées embrumées s’emmêlent dans ma tête. Une femme blonde dans un lit, les pages d’un livre qu’elle feuillette. Moi, habillée d’une ample chemise de nuit blanche, noircissant une feuille de papier avec une plume d’oie. Un bateau de pêche, une mer déchaînée et moi, encore, qui plonge nue dans la mer…
— Ils sont durs ses gros bouts ! J’ai envie de téter le mien…
— Moi aussi… On dirait une groseille brune.
Quand les lèvres ...
... des filles gobent mes tétons, je me cambre en tentant de me dégager. Je sens les cordages scier mes poignets et mes chevilles. Les deux femmes me mangent littéralement les seins.
— Aah ! Arrête !
Molis m’a pénétrée de ses doigts. Lui aussi s’est déshabillé et maintenant, il me doigte un peu durement. Le garçon exhibe une petite bite ornée d’une touffe de poils roux, dure et dressée, tout en me souriant.
— Ouuuf !
Le piquet a lâché d’un coup. Étrangement, ma frayeur s’est dissipée avec ma migraine. C’est comme une libération de mon corps et de mon esprit. Ma gifle fait valser Ulla sur l’arrière et Tali, restée comme une gourde à regarder Ulla avachie sur le sable, se prend mon poing fermé en pleine figure. Le petit homme roux, lui, s’est vivement reculé, son érection en main.
— Détache mes chevilles ! Vite !
Ces curieux personnages sont les habitants de cette île. Ulla est la plus âgée du groupe. Un groupe de jeunes gens âgés d’une petite trentaine d’années. Ce n’est d’ailleurs pas le plus surprenant. Ils ne dépassent pas un petit mètre de hauteur. Aucun des habitants de l’île ne dépasse cette taille. C’est bien beau à savoir, mais moi, je ne suis pas fichue de me souvenir de mon nom, de mon âge ou de ce que je fais là. Je ne suis qu’une naufragée amnésique, échouée sur une île inconnue. C’est ce que je suis en réalité. Je viens d’en prendre conscience. Une situation dramatique qui aurait pu être pire, selon Ulla. L’île aurait pu être déserte.
Cette île ne ...