Indicible Ch 03
Datte: 17/06/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... d'hébétude avancé. Pas comme la dernière fois, là c'est trop violent, mais déconnecté. Les hommes présents semblent frappés par le dispositif que je subis sur mon sexe, Monsieur explique ce que c'est, que je vais le porter un an ainsi. J'entends des voix me traiter de vraies salopes, de chair à torturer, cela me fait pleurer.
Mon pubis salement étiré est lui aussi bien strié de marques, Maitre me murmure qu'il me fera marquer au fer rouge là. Les coups reprennent, les instruments changent parfois, mais la souffrance diffère peu en fait. Même mes bras sont battus. Cela dure des heures, je n'ai plus de larmes, plus la capacité d'émettre le moindre cri, je ne réagis qu'à peine aux coups qui se suivent.
Pour marquer la fin de cette première période, Monsieur me serre deux pinces crocodiles sur les tétons, je ne réagis même pas à la douleur. Il me murmure qu'il va me doter de très grosses tétines annelées, et que je vais porter une magnifique poitrine pour une chienne comme moi. L'information me fait réagir, je le regarde incrédule, il rit. Je ne veux plus penser, surtout pas à l'avenir. Mais avancer pas après pas. Juste me conformer. J'ai besoin qu'il me prenne dans les bras, qu'il me rassure.
Au lieu de quoi, il me porte jusqu'à un slim suspendu dans l'autre coin de la pièce, sur lequel je suis attaché sur le dos, les jambes repliées sur moi. La lanière tirant mon paquet est détachée, mon sexe respire un peu enfin, dévoilant le supplice que je vis à toute l'assemblée. ...
... Je les perçois impressionnés, et certains même gênés, quittent la salle, cela doit être un peu trop pour eux.
Maitre présente son sexe déjà tout dur à mon trou, qui n'a pas été du tout préparé. Je panique, dans la tête, car mon corps, lui, ne bouge pas. Il met un peu de salive, sans doute pour son propre confort et s'attelle à me violer ainsi. Mes cris sont des gargouillis, le plaisir est bien loin, je le sens me déchirer, m'ouvrir en force de son énorme sexe. Des mains me tirent les pinces pour me faire réagir, d'autres écrasent mes couilles offertes, un sexe se présente à ma bouche. Après une longue pénétration, mon cul se lubrifie enfin. Monsieur me prend ainsi pendant une durée infinie, je suis limé, ouvert en deux, je pense que plus jamais je ne pourrais me refermer. J'ai avalé de nombreuses giclées de sperme, je ne les compte plus. Je m'endors parfois, ou alors je perds conscience, je ne sais plus trop. Je ne perçois plus trop ce qui se passe, parfois une douleur plus profonde me sort de ma torpeur, une couille écrasée entre deux doigts puissants, une paire de dent m'arrachant une pince avant qu'elle ne soit remise. Je suis concentré sur ma respiration, stressé par ce collier trop serré. Je perds pied.
Quand j'émerge, je sens que tout est calme. Je suis toujours nu, mais sans le collier, ma cage remise à sa place entre mes jambes, je suis posé dans mon entrée à même le sol. Je me suis pissé dessus et j'ai froid. Je cherche Monsieur, mais il n'est pas là. Je n'ai ...