Indicible Ch 03
Datte: 17/06/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... et si tu décides de continue, alors ce sera définitif, et plus jamais tu ne jouiras, ni même ne banderas. Une femelle comme toi n'est là que pour obéir, servir et souffrir. Je veux t'apprendre à être remplie de bonheur quand je suis satisfait, et seulement dans ce cas. Pendant cette année j'aurais eu tout le temps de faire les travaux dans la maison, je suis certain que cela te plaira, de toute façon quel choix as-tu?
Plus jamais jouir? La cage pendant un an? Je préfère bloquer mes pensées et sans l'avoir décidé, je me jette à ses pieds pour les embrasser et le remercier. C'est instinctif, peut être un instinct de survie.
Alors que je ne vais jamais en club, et encore moins en club sexuel, me voici pour la seconde fois dans un club sm, mais gay cette fois ci, en plein cœur du Marais. Monsieur fait sensation en arrivant, cela me convainc que finalement j'ai de la chance d'être à ma place et qu'il m'ait choisi. Il est juste en pantalon de cuir et t shirt noir mais très impressionnant par sa carrure et sa puissance. Il m'a passé un collier, lui aussi trop serré, c'est une drôle de manie. Je suis à 4 pattes, naturellement et cela me convient si bien. Je découvre les lieux, des sous sols sans fin, que des hommes évidemment, beaucoup de râles, de cris, de bruits de fouets. Nous arrivons dans une plus grande salle, avec une grande croix sur un côté. La salle est vide et Monsieur s'approprie la croix en m'y attachant, là aussi bien serré. Je suis sur la pointe des pieds et ...
... mon paquet supplicié bien visible entre mes jambes. Il est très douloureux. Il m'indique que c'est le début de ma punition. Une dizaine de mecs sont rentrés et viennent participer au spectacle. Je tremble de peur, de froid, d'inquiétude de ne pouvoir pas supporter. Je sais que je vais souffrir.
J'entends le bruit bien avant de sentir la douleur qui me coupe le souffle et marque en diagonal mon dos. La brutalité est inouïe, rien à voir avec samedi dernier. La souffrance ne s'estompe pas vraiment. Mon cri jailli quelques secondes plus tard seulement. Juste avant le second coup. Puis le troisième. Je me concentre pour les compter, je ne sais pas pourquoi. A 10 Monsieur fait une pause, j'ai la tête qui tourne, les yeux remplis de larme, la gorge déjà éraillée de mes cris. J'essaie de m'offrir mais c'est impossible tellement c'est douloureux, difficile. Je sens des mains caresser mon dos, suivre les boursouflures, peut être est-ce déjà fini?
Je ne suis pas naïf, mais quand même. Monsieur m'assène les dix coups suivants aussi fort, mais sans aucun répit entre. Je suis tendu comme un arc, le souffle coupé, je ne peux rien faire sinon subir et souffrir, c'est juste atroce. Non ce n'était pas la fin, même pas la fin du début. Quand Monsieur décide de marquer l'autre côté de mon corps, cela fait longtemps que j'ai perdu le compte des dizaines de coups reçus. Mes fesses n'ont plus aucune forme, je sens le sang qui dégouline de mes cuisses comme de mon dos, je me sens dans un état ...