1. Politiquement incorrect


    Datte: 15/06/2024, Catégories: fh, fhhh, jeunes, inconnu, forêt, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), contrainte, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme exercice, délire, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... non…
    
    L’homme ne sait même plus quoi dire.
    
    — Bah… S’il n’y que ça pour te faire plaisir, cela peut s’arranger…
    — Purée… un viol collectif… Tu sais que tu me rendras folle, un jour ?
    
    Déjà, l’homme a tourné les talons. Il sait qu’un jour, il finira par quitter cette femme qui n’a de cesse que de le faire tourner en bourrique avec ses fantasmes hors du commun. Et puis surtout, il sait que s’ils devaient un beau jour se faire surprendre par le mari et quand bien même lui aurait-elle juré qu’elle n’agirait jamais comme ça, elle aurait beau jeu de prétendre qu’il s’agissait d’un vrai viol et il se retrouverait en prison… Ce qui s’est probablement déjà produit.
    
    Véronique
    
    Il y a une quinzaine de jours, un dépôt de plainte a eu lieu : la dénommée Véronique affirme avoir été violée dans un appartement plutôt cossu d’un immeuble de banlieue, le présumé coupable a été mis en examen, écroué et, pour le moment, les deux fliquettes chargées de l’affaire en sont à l’enquête de voisinage… Dans ce genre de plan, en général, personne n’a rien vu mais là, c’est légèrement différent.
    
    — Elle ? Violée ? Vous rigolez ? Putain, si l’on jouit aussi fort qu’elle en se faisant violer, n’oubliez pas de donner mon adresse à son agresseur ! Je me ferai une joie de l’accueillir chez moi !
    
    Ce genre de témoignage, ce doit être le quinzième que les deux représentantes des forces de l’ordre reçoivent de la part de voisines qui, la plupart du temps, s’en amusent. Et les deux enquêtrices, ...
    ... elles, sont à deux doigts de criser.
    
    Récapitulons : depuis environ deux ans, Véronique se rendait régulièrement à l’appartement de l’accusé, la plupart du temps seule, mais quelquefois accompagnée d’un ou de plusieurs hommes que, par ailleurs, aucun des témoins n’est capable de reconnaître tant ils étaient nombreux. Logiquement, sur un coup comme ça, personne n’aurait dû savoir ce qui se passait une fois la porte close mais c’était sans compter avec les invraisemblables vocalises que la plaignante poussait lorsqu’elle prenait son pied ! L’hiver, bien sûr, tout était calme mais, dès que les températures remontaient et que les fenêtres restaient ouvertes, ce n’était pas la même musique…
    
    Au final, le proprio de l’appartement a été condamné, plus par principe qu’autre chose, au motif qu’être consentante vingt fois ne signifie pas qu’on ne le soit la vingt et unième… Quant au fait que l’on puisse jouir, surtout de façon aussi explosive dans de telles conditions, les experts ont estimé que cela était tout à fait possible. Il n’empêche que sur ce dernier point, l’ensemble de l’assistance, qu’il s’agisse du juge, de l’avocat, ou du public, tout le monde est resté dubitatif…
    
    Natacha
    
    L’affaire qui est plaidée ce jour-là est tristement banale : une jeune employée a été harcelée sexuellement par Dominique, la personne dont elle recevait les consignes. Dans un premier temps, il s’agissait de commentaires sur son opulente poitrine, qu’elle devrait en profiter avec de plus grands ...
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