1. Politiquement incorrect


    Datte: 15/06/2024, Catégories: fh, fhhh, jeunes, inconnu, forêt, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), contrainte, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme exercice, délire, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... chatte de sa victime.
    
    — Alors, on fait moins la mijaurée ? Tu vas l’aimer, ma bite !
    
    En guise de réponse, elle profite de ce que l’homme a un peu trop approché son visage du sien pour lui cracher une énorme morve à la gueule, ce qui lui vaut une nouvelle mornifle de derrière les fagots. L’outrage n’est plus loin, elle a beau serrer son sexe autant qu’elle le peut, un seul coup de reins a suffi pour que la grosse queue pénètre tout au fond d’elle. Pour elle, c’est l’enfer, non pas à cause de la douleur mais parce que son corps vient une fois de plus de la mettre dans une invraisemblable situation ! Tout à l’heure, lorsqu’il lui tripotait les nichons, elle a senti son fourreau s’humidifier et c’est donc un sexe totalement détrempé qui s’est ouvert devant lui.
    
    — Tu vois que t’en mourrais d’envie ! T’es une salope, va falloir te le mettre dans la tête !
    — Va chier, connard !
    
    Insensible aux insultes, l’homme continue de la pilonner comme un furieux. Et si la femme croyait qu’elle venait de vivre l’enfer, ce qui est en train de se produire est bien plus terrible encore, dans la mesure où le type vient de poser son index sur son petit organe. Comment peut-on parler de plaisir dans une situation pareille ? En attendant, elle sent monter de son ventre une sensation qu’elle connaît bien et qui, chez elle, se termine bien souvent par un petit voyage dans l’espace. Et cette jouissance plus honteuse, il est hors de question qu’elle l’offre à cette ordure !
    
    Alors ...
    ... elle serre les dents, à deux doigts d’arracher les draps tellement elle se crispe dessus, elle s’efforce de relâcher son ventre pour donner un minimum de plaisir à cette queue qui la fouille au plus profond d’elle-même, mais rien n’y fait… Et, lorsqu’au bout d’un long moment qui lui semble à elle une éternité, l’homme se vide enfin dans un rugissement de bête blessée, elle n’a pour tout recours que de tourner la tête et mordre l’oreiller pour ne pas crier… Soudain, pour elle, c’est le trou noir, dont elle ne s’extirpe que difficilement. Jouissance ? Certainement pas… Il s’agit plutôt d’une perte de connaissance, elle reprend son souffle.
    
    Quelques minutes plus tard, l’homme l’a détachée et, contre toute attente, elle s’est blottie dans ses bras.
    
    — T’es sûre que t’as pas envie de faire l’amour normalement ? Moi j’en ai marre de ces mises en scène, sans compter qu’un jour, cela finira mal…
    — N’empêche que t’as pas idée du panard que je viens de me prendre… Rien d’autre n’est aussi fort.
    — Mais on pourrait pas tout simplement aller baiser dans ma camionnette, quitte à se mettre à un endroit où l’on pourrait être vus ? Je sais que tu aimes ça…
    — Ah, un viol en forêt, j’avoue que ça pourrait être sympa…
    — Mais pas un viol, merde, un simple coup de queue, ça ne te dirait pas, pour changer ?
    — Pourquoi faire ? C’est d’un banal…
    — Ah bon ? Tu veux que je demande à des copains de venir nous reluquer, aussi ?
    — Pour reluquer ? Si au moins ils me baisaient, je ne dis pas ...
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