1. Politiquement incorrect


    Datte: 15/06/2024, Catégories: fh, fhhh, jeunes, inconnu, forêt, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), contrainte, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme exercice, délire, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... dans ta chatte ? T’es sûre ?
    
    Rien ne semble calmer l’homme qui, pourtant, est à deux doigts de triompher. Terrassée mais pas vaincue, la femme fait mine d’entrer dans son jeu.
    
    — Non… Dans le cul aussi…
    
    Si elle parvient à faire un peu baisser la pression, elle profitera d’un moment d’inattention pour, à l’aide de sa jambe libre, lui remonter les valseuses entre les omoplates, et ensuite… Eh bien, ensuite, on verra.
    
    — C’est vrai ? Tu aimes quand on t’encule ?
    — Oui c’est vrai, j’aime ça…
    — Et les grosses bites de blacks dans ton cul, ça te plaît ?
    — Oui j’aime ça… Tu as raison, je suis une salope…
    
    Le stratagème semble fonctionner puisqu’il desserre l’étreinte, allant même jusqu’à reposer le coupe-papier sur la table de nuit. Mais a-t-il réellement été dupe de la supercherie ? Elle a confirmation du parfait contraire lorsqu’il lui décoche de nouveau une monumentale gifle à l’instant précis où, à l’aide sa jambe libre, elle s’apprêtait à lui envoyer les baloches sur orbite.
    
    — T’y a cru, hein, connasse ? Oui, t’es une salope, mais tu ne m’auras pas comme ça ! Allez, assez discuté, allons-y !
    
    Les yeux pleins de terreur, elle le voit se ressaisir du coupe-papier. Que va-t-il lui faire, cette fois ? Elle n’a pas longtemps à attendre, c’est à la manche de son tee-shirt que l’homme vient de s’attaquer. Bigre, elle savait le presque couteau tranchant, mais à ce point ! Partant du poignet, il vient de remonter jusqu’à l’épaule, le tissu se déchire largement ...
    ... jusqu’à mettre sa poitrine à nu.
    
    — T’as même pas de soutif et tu joues les saintes nitouches… Tu me dégoûtes…
    
    Et oui, la femme est effectivement seins nus sous son vêtement de sport… Lorsqu’elle revient de son boulot, elle aime bien se débarrasser de ce carcan qui l’étouffe mais qui lui évite pas mal de réflexions lorsqu’elle bosse. Une fois, elle a profité de ce que c’était l’été et qu’il faisait fort chaud pour tenter le débardeur sans rien dessous : plus jamais… Elle a eu l’impression d’être un animal de foire que tout le monde, à commencer par ses collègues féminines, venait voir et juger. Et dire que c’était quasiment la norme dans les années 70…
    
    Quoi qu’il en soit, elle se retrouve bien vite torse nu et l’homme empoigne alors ses seins. Misère… Sa poitrine a toujours été son point faible : dans le bus ou le métro, elle a régulièrement affaire à quelques mains baladeuses plus ou moins volontaires. Lorsqu’il s’agit de son cul, la distribution de gifles est immédiate mais elle doit toujours prendre sur elle-même pour ne pas se laisser faire lorsqu’il s’agit de ses nibards. C’est une véritable malédiction ! Le simple contact d’une main au travers du soutif l’électrise… Et encore, personne ne se doute de ce qu’il se passe alors entre ses jambes ! À chaque fois, c’est un véritable combat entre son corps et sa tête et elle sait qu’elle va craquer s’il continue, ce qui lui est doublement insupportable.
    
    — Connard ! Abruti ! On ne traite pas une femme comme ça !
    — Toi, une ...
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