1. Politiquement incorrect


    Datte: 15/06/2024, Catégories: fh, fhhh, jeunes, inconnu, forêt, Collègues / Travail fsoumise, humilié(e), contrainte, dispute, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme exercice, délire, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... l’aimable collaboration d’un autre auteur
    
    Dix-huit heures trente, tout est calme dans cet immense lotissement. L’homme regarde sa montre, sa cible doit être revenue du travail et il sait qu’elle sera seule : désormais, plus rien ne s’oppose à la réalisation de son projet.
    
    Il sonne, elle ouvre, elle pâlit.
    
    — Qu’est-ce que tu fous ici ? Je t’ai dit de ne jamais revenir !
    — Eh ben perdu ! Je suis là !
    — Et qu’est-ce que tu veux ?
    — La question n’est pas là, la question est de savoir ce que toi tu veux, espèce de salope !
    — Ce que je veux ? Que tu te casses, connard !
    
    Elle tente de refermer la porte, mais l’homme a déjà mis son pied dans l’embrasure. D’un robuste coup d’épaule, il fait valdinguer la femme à l’autre bout du couloir tandis qu’aussitôt le seuil franchi, il s’empresse de mettre un tour de clé derrière lui. Quoi qu’il advienne, il ne sera plus dérangé.
    
    Terrorisée ? Horrifiée ? Apeurée ? Ce n’est pas véritablement le genre de la femme qui s’empresse aussitôt de passer à la contre-attaque : cela fait des années qu’elle pratique les sports de combat, cette ordure va l’apprendre à ses dépens !
    
    Les deux uppercuts qu’elle lui lance lui parviennent en pleine face tout comme les monstrueuses savates qu’il se prend dans les chevilles mais, malheureusement pour elle, le coup de genou en direction des joyeuses du type n’atteint pas son but, ce qui déclenche un accès de fureur supplémentaire chez le gars qui, en réaction, lui balourde alors une formidable ...
    ... mandale qui expédie sa victime sur le lit de la chambre. Passablement sonnée, elle n’a pas le temps de réagir lorsqu’il sort de sa poche trois cordelettes qu’il attache aussitôt à ses poignets ainsi qu’à sa cheville gauche.
    
    — Alors ? On fait moins la fière, maintenant ?
    — Ordure ! Dégueulasse ! Fumier !
    
    Une autre gifle, cette fois nettement moins violente que la précédente, la fait taire.
    
    — C’était quand même une sacrée idée de m’emmener dans une chambre avec un lit à barreaux… T’avais prévu ton coup, salope !
    — C’est toi la salope ! C’est toi qui as baisé cette petite pute de Johanna ! Me faire ça, à moi, avec ma meilleure amie !
    — Qu’est-ce que ça peut bien te foutre ? Elle aime la bite, tout comme toi ! D’ailleurs, tu vas me le dire !
    — Crève, charogne !
    
    L’homme sourit, il vient de se saisir d’un coupe-papier qui traînait sur la table de chevet et qui sert ordinairement à ouvrir le courrier. La pointe n’est pas très acérée, mais nettement assez pour l’usage qu’il compte en faire : le poser juste sous l’œil de la femme qui, cette fois, se met brusquement à paniquer.
    
    — Bon, tu vas me le dire, que tu aimes la bite…
    
    Absolument tétanisée par la peur, elle s’entend répondre en bredouillant :
    
    — Oui, j’aime la bite…
    — Ah oui ? Tu l’aimes où, la bite ?
    
    L’envie de lui répondre quelque chose dans le genre « dans ton cul, connard » est immense mais le moment est peut-être mal choisi. Qu’importe, il ne perd rien pour attendre.
    
    — Dans ma chatte…
    — Rien que ...
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