Mes vacances en Italie
Datte: 14/06/2024,
Catégories:
Première fois
Auteur: GM34280, Source: Hds
Je m’appelle Elsa, belle brune de trente trois ans, mariée depuis cinq ans à Robert de deux ans mon aîné. Nous avons une vie dans l’ensemble très stable, sereine. Aucun nuage, à ce jour, n’est venu troubler nôtre couple.
Je n’ai jamais eu une folle attirance pour le sexe, pourtant, de part ma beauté, j’attire irrésistiblement mon mari, et malgré moi, le regard d’autres mâles. Je suis souvent sollicitée, dans des soirées, par des hommes ne visant que l’intérêt de m’attirer dans leur lit.
Cette année, avec mon époux, nous décidons d’aller passer quelques jours en Italie, Rome, plus précisément, la ville éternelle, ville des amoureux, des amants, mais aussi de rencontres improbables.
Nous avons louer une suite somptueuse, tout près de la place Saint-Pierre.
Je rentre de faire du shopping, et me dirige direct à la salle de bains. J’en ressort entièrement nue, pour faire une surprise à mon mari. C’est à ce moment que j’entends des voix. Je dresse l’oreille, et écoute pour en localiser l’origine. Cela vient du bureau attenant à nôtre chambre. Surprise, je m’enroule dans une serviette et rejoins l’endroit en question.
Ce n’est que lorsque je découvre les deux hommes en train de discuter, que je me rappelle que mon mari m’avait prévenu de la venue d’un guide touristique, pour la visite d’une partie de la ville, demain, et du carnaval, le soir.
- Tiens...mon épouse, dit Robert, je te présente nôtre guide pour les fêtes.
- Enchanté…vous pouvez m’appeler ...
... Luigi...
- Enchanté, monsieur...moi c’est Elsa.
Je sentais Luigi gêné par ma tenue, pour le moins déshabillée, et ne cachant pas grand chose. Je le trouvais assez sympa, très séduisant. Mais bon, pas de quoi, en tout cas, faire un long détour.
Le lendemain, une calèche se gare devant l’hôtel, pour nous emmener visiter la ville. C’est bien Luigi qui tient les rênes.
A la façon de me prendre la main, pour m’aider à monter dans la calèche, et son regard foudroyant me fixant droit dans les yeux, je compris de suite que je ne le laissais pas indifférent. Quand à moi, je ne restais pas insensible non plus à son charme italien, et me perdais vite dans le bleu de ses yeux.
Célibataire, je me serais certainement laisser séduire, mais de part mon éducation, je chassais ces mauvaises pensées de mon esprit.
Légèrement troublée, je lui faisais un large sourire lorsque mon mari lui demandait s’il connaissait l’adresse d’un bon restaurant.
Le soir, au restaurant, voila que Luigi arrive, et se dirige vers nôtre table. Il me félicite pour ma beauté, tout en effleurant malicieusement un sein.
- Vôtre épouse est ravissante, dit-il à mon mari.
- A voir vôtre approche, je n’en doute pas, répond Robert.
Il est vrai que ce soir, je m’étais mise en beauté.
Débardeur en soie blanche, courte jupe, qui, une fois assise, remontait allégrement sur mes cuisses. Je pense qu’à cet instant, Luigi devait avoir des pensées troubles, et s’imaginait peut-être sucer mes seins, dépourvus de ...