La danse des coeurs
Datte: 13/06/2024,
Catégories:
fh,
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couple,
danser,
douche,
Masturbation
caresses,
Oral
rencontre,
couplea3,
Auteur: apv, Source: Revebebe
... coule contre moi, mais sa poitrine tant fantasmée me presse. Ce baiser fait à mon appétit ce que Fadwa fait à ma pudeur. Elle m’entoure de sa tendresse et moi de mes bras. Le parfum que j’appréciais chaque fois que nous dansions ensemble m’enivre.
En m’écartant un peu, je la fixe et ses yeux de biche cillent de pudeur. Craquante. Je plonge dans son cou comme on effleure le duvet d’une rose, avec la délicatesse de la prudence. Son odeur me rend fou et le léger gémissement qui chante à mon oreille enflamme mon désir.
Les doigts de Fadwa s’enfoncent dans ma chevelure. Assise en amazone sur le bord du canapé, elle s’offre à ma bouche curieuse. Ses mains caressent le haut de mon dos, en bas sa chemise est relevée par les miennes. Je touche sa peau chaude et satinée au creux de ses reins. Comme un éclair électrique, Fadwa se tend et me sourit avant de m’embrasser à nouveau.
Chaque bouton ôté est un pas vers la nudité de nos désirs. Simplement, naturellement, nous nous retrouvons finalement nus l’un contre l’autre. Fadwa est belle.
L’étreinte est un océan de vagues de plaisirs qui nous submerge. Ma danseuse est allongée sous mon corps tendu au-dessus d’elle et sa poitrine imposante défie l’apesanteur. J’imprime un mouvement de hanche assez lent et, plutôt avec gourmandise, ma bouche et mes mains, sur ses seins, s’activent. La jeune femme relève ses cuisses contre mon corps et plus profond je la pénètre. Son visage voyage entre les sourires et les gémissements. Ses yeux ...
... pétillent. Ses mains s’agrippent.
Je prends l’initiative de basculer sur le côté et, ainsi placé derrière elle, j’ai le loisir de malaxer sa splendide poitrine aux tétons dressés et de me mouvoir dans son sexe humide et serré. N’étant plus face à face, je crois que Fadwa se lâche un peu plus et ses gémissements augmentent.
— Vas-y, Sébastien. C’est bon !
Très progressivement, j’accélère en entourant de mes bras le corps de la gazelle. Nous montons ensemble en communion au rythme du flux et du reflux de notre danse lascive. L’orgasme de Fadwa est puissant autant que bruyant et il me bouleverse tellement que je ne peux pas me retenir. Et le silence assourdissant d’un paroxysme si intense. Nous voilà donc seuls sur terre, n’ayant plus de temps et d’espace, de repères, de souffle, que notre plaisir intense.
Je m’aperçois que Fadwa pleure.
— Qu’est-ce que tu as ? Je m’inquiète.
— Rien. Pas de problème. Je pleure souvent lorsque je suis heureuse ou que j’ai des orgasmes aussi forts.
Malgré tout, je la caresse tendrement pour la rassurer. Sa peau est un velours chaud et satiné. La jeune femme se retourne pour m’embrasser et ses larmes se mêlent à notre salive. Je ne sais pas depuis combien de temps nous sommes allongés confortablement sur le canapé à nous caresser, mais nos peaux ne sont plus que des vagues de sensations subtiles dont nos consciences enivrées s’abreuvent.
Sans vraiment m’en rendre compte, sans hiatus particulier, Fadwa se retrouve au-dessus de ...