Hélène 59 : je suis une conne.
Datte: 12/06/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Rouge, Source: Hds
... j’ai été surprise, mais continue.
Il fait doucement rouler mon téton, entre pouce et index.
Je soupire.
- C’est délicieux mon chéri. Depuis que je suis percée, je suis devenue très sensible. Il suffit que tu me suces les seins et que tu les aspires, et je grimpe aux rideaux, et je poursuis.
- Quand je pense que je me croyais frigide à vie quand je t’ai rencontré.
Je marque un petit silence, et je reprends avec la question qui tourne dans ma tête.
- Dis, mon chaton, Anne-So….
- Oui, ma belle…- Je pose mes lèvres dans son cou, et je murmure- Anne-So, elle suce mieux que moi ???
C’est la fiesta à la boutique…J’ai acheté le magasin juste à côté de ma mercerie, et j’en ai profité pour m’agrandir. Je peux enfin créer un rayon lingerie, spacieux, avec cabine d’essayage, et rangement à profusion.
Et pour fêter ça, j’ai organisé une petite sauterie, avec mes copines, et les commerçants du quartier.
J’aussi invité Odile et Christine, qui semblent bien s’accorder. Mel et Anne So sont bien sûr de la partie ainsi que les enfants de Pierre.
Vingt heures sont déjà passés et quelques invités sont déjà partis quand Antoine se met à jouer les DJ. On pousse un peu les meubles et nous dégageons un espace suffisant pour danser.
Quand j’ai connu mon chéri, c’était un piètre danseur (et oui, il n’est pas parfait, il a quelques défauts), et il n’aimait pas ça. Mais j’ai fait son éducation, et maintenant, il ne me refuse jamais un petit rock. En plus ce coquin ...
... adore me faire tourner pour faire voler ma jupe et dévoiler mes jarretelles.
Nous finissons le troisième, et je suis un peu étourdie, à cause du rythme endiablé de cette dernière danse et du champagne qui fait son effet.
Je me rajuste, je lisse la jupe et je lève les yeux vers mon chéri. Il me sourit, son regard pétille.
Le bruit ambiant s’estompe, les conversations s’assourdissent. C’est comme si une bulle nous isolait du monde. Comme au ralenti, il met un genou au sol, en fouillant dans sa poche. Il en sort une petite boite. Mais je n’y fais pas attention. Mes yeux restent fixés sur ses lèvres.
- Hélène, veux-tu m’épouser ?
Le temps s’arrête, Le bonheur me balaie comme un coup de vent.
- Oh oui, oui, oui, et je me penche pour l’embrasser.
Mais c’est trop d’émotions, mes jambes me lâchent et je lui tombe dessus. Sous mon poids, il bascule en arrière. Je prends sa tête entre mes mains et je l’embrasse à pleine bouche. Je le dévore, je le mange, je le bouffe. Mais il faut que je reprenne ma respiration et je libère ses lèvres, je m’écarte légèrement, je sens ses mains autour de ma taille. Nous sommes seuls au monde.
Puis dans un tonnerre de bravo et d’applaudissement, le monde extérieur crève notre bulle. Il se dégage, il me tend la main et me relève comme à notre première rencontre.
Ce soir-là, après l’étreinte, pour une fois, dans le lit, c’est moi qui le prends dans mes bras, j’entoure son torse de mes bras, et je cale mon ventre contre ses fesses. Je ...