1. Hélène 59 : je suis une conne.


    Datte: 12/06/2024, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Rouge, Source: Hds

    ... C’est pourquoi Cruella et Nora s’occuperont de mon chéri.
    
    Elles sont habiles et sans pitié. Elles savent ce qu’il peut endurer, et surtout ce que je peux supporter.
    
    Elles se placent l’une devant, l’autre derrière. Les lanières pendent au bout de leurs bras. Elles attendent mon signal.
    
    Je fais durer l’attente. Très doucement, la verge de Pierre commence à se redresser. A cet instant, je me rappelle son récit de sa première liaison, quand il était un jeune adulte.
    
    Je fais un petit signe de la main. Cruella lève son martinet et l’abat sur les cuisses et les fesses de mon seigneur adoré. Je peux voir ses mâchoires se contracter. Nora lance son fouet sur les abdominaux de Pierre. La longue lanière s’enroule autour de sa taille, puis se dénoue.
    
    Elles marquent une pause. Puis elles recommencent lentement, méthodiquement, chacune leur tour, lui laissant déguster chaque cinglée.
    
    Je tressaille à chaque fouettée, comme si j’étais moi-même flagellée.
    
    Mel se glisse derrière moi, elle pose sa paume sur ma hanche. Elle faufile sa main sous ma jupe, elle remonte le long des bas, jusqu’à ma cuisse nue. Ses doigts s’insinuent, par derrière, sous ma culotte déjà humide. Son pouce appuie sur ma rosette, son index et son majeur agacent mes lèvres gonflées et trempées. Elle se colle contre moi, et murmure…
    
    - Tu aimes le voir fouetter ?
    
    - Oui.
    
    - Tu mouilles de sa douleur ?
    
    - Oui- Tu sais qu’il aime souffrir pour toi.
    
    - Oui.
    
    - Tu as vu, il bande comme un ...
    ... cerf.
    
    - Oui.
    
    Les lanières continuent de s’abattre sur mon amant, il n’essaie plus de se défendre avec ses mains.
    
    Cruelle lance son martinet. Les lanières frappent les couilles et la verge en érection. La bourrelle redouble son coup, atteignant le gland décalotté. Pierre hurle.
    
    Je tremble spasmodiquement. Mes genoux me lâchent, je tombe. Mel et Anne-So me rattrapent. Je reprends mon souffle. Est-ce le cri de mon homme, ou les doigts habile de mon amante qui ont provoqué mon orgasme ?
    
    Pierre est descendu, il se pose en douceur sur l’herbe fraiche. Sa respiration s’apaise. Mais ce n’est pas fini. Quatre femmes délient ses chevilles de la barre d’écartement, et y accrochent ses poignets. Elles l’aident à se relever. Un bruit de cliquet, et le voici étiré.
    
    Je m’empare de ma cravache fétiche sur la table et je m’approche. Il me sourit. Je fais glisser le jonc sur sa poitrine puis sur son ventre. Sa belle bite se redresse avec orgueil. Il sait ce qu’il va subir, et malgré tout, il bande. Je ne vais pas le faire attendre.
    
    Je passe derrière. Un instant, j’admire son cul. Ses fesses sont rondes, fermes, pommées. J’en mangerai. D’ailleurs, je l’ai déjà mordu deux ou trois fois, et je ne me priverai pas de recommencer.
    
    Je lève mon bras, et je l’abats, il hurle. La tige souple l’a frappé en plein milieu de son cul. Ses genoux plient, puis il se redresse.
    
    Je lui fais face. Je laisse tomber la cravache.
    
    Pierre
    
    Les spectatrices installent le sling sur une branche ...
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