La convocation- 1/2
Datte: 12/06/2024,
Catégories:
ff,
jeunes,
fdomine,
humilié(e),
chantage,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
lesbos,
dominatio,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... éventail fermé, posé sur le bureau.
Aline s’avança tout près et s’immobilisa, obéissante et inquiète, devant Catherine. Celle-ci pointa le bout de son éventail à hauteur de la taille de la jeune fille et écarta lentement les pans du sarrau.
— Vous savez que j’exige une netteté parfaite pour remplir ce service, Aline, en particulier lorsqu’on est brune comme vous l’êtes ! Un buisson aussi sombre que le vôtre doit être taillé avec soin. Il se fait invariablement remarquer sous une tenue immaculée, et là, c’est tout à fait inconvenant. Pourquoi osez-vous vous présenter à mon invitée et à moi avec une telle négligence ? Répondez !
— Je n’ai pas eu le temps de me raser, Madame, je suis venue tout de suite après l’étude, nous avions beaucoup d’exercices à faire ce soir…
— Taisez-vous ! Je me doute qu’il n’y a pas que ce seul manquement, reprit durement la Directrice en passant sa main libre entre les cuisses écartées, n’est-ce pas ? On sent très nettement la repousse des poils sur vos lèvres.
— Je suis désolée, je ne le referai plus, pardonnez-moi, Madame, balbutia l’infortunée en rougissant.
— Je n’accepte aucune excuse, Mademoiselle, vous devriez le savoir. Si vous n’avez pas eu le temps de vous apprêter correctement, c’est votre affaire.
— Oui Madame, j’aurais dû…
— Ici, il n’y a jamais de dérogation au règlement. Vous n’avez pu vous raser, dites-vous ? Eh bien, votre service est terminé. Allez vous présenter à la préfète de semaine, immédiatement. Dites-lui la ...
... raison de votre renvoi.
— Oui Madame, capitula Aline en s’inclinant.
Elle s’apprêtait à sortir, mais la Directrice la rappela avec un petit sourire cruel.
— Vous serez épilée manuellement ce soir, au réfectoire, pendant que vos camarades assisteront à votre punition. Avec une épilation intégrale, vous n’aurez plus à vous préoccuper de rasage durant un bon moment, n’est-ce pas ?
Catherine n’avait pas élevé la voix. Pourtant, les mots avaient claqué durement dans sa bouche pendant qu’elle énonçait les raisons et les formes de la punition. À peine laissa-t-elle percer une trace d’ironie moqueuse en prononçant la dernière phrase, sans doute en manière de complicité avec son invitée qui avait assisté à la scène avec un mélange de malaise et de gêne.
Aline s’en fut, tête basse et yeux rougis, vers son destin, et Catherine se tourna, brusquement radieuse, vers Chantal.
— Voilà une question réglée, dit-elle avec une pointe d’insouciance comme s’il ne s’était agi là que d’une chose banale. Mais je ne veux pas vous cacher plus longtemps l’objet de mon invitation, ma chère.
— Je vous écoute, souffla Chantal,é reprise par le doute.
— Vous êtes inquiète, je l’ai bien vu. Mais si, mais si ! Ne vous en défendez pas, c’est bien naturel, je vous assure. Et vous n’avez pas à vous en faire, je vous l’assure aussi. Parlons simplement, comme deux amies, vous voulez bien ?
— Comme vous voudrez, Ma… Euh, Catherine.
— Ce que j’ai à vous dire, à vous demander, plutôt, est un peu ...