1. Deux impératrices de Chine


    Datte: 11/06/2024, Catégories: fh, hplusag, fplusag, fagée, nympho, grossexe, fdomine, Partouze / Groupe nonéro, portrait, historique, historiqu, Auteur: OlgaT, Source: Revebebe

    ... particulier la baisse des impôts, la limitation des corvées ou encore du rôle de l’armée.
    
    Elle donna quatre fils à l’empereur. Les deux aînés, appréciés par l’empereur et les mandarins, furent successivement princes héritiers, avant d’être écartés et assassinés, car perçus comme des rivaux par la toute puissante impératrice. Les historiens chinois attribuent ces meurtres à Wu Zetian.
    
    Le troisième fils, Zhongzong, devint à son tour prince héritier, puis empereur à la mort de Gaozang. La réalité du pouvoir resta entre les mains de l’impératrice douairière. Zhongzong, ayant voulu s’émanciper, fut très vite écarté du pouvoir, au profit du quatrième fils, Ruizong.
    
    Wu Zetian écrasa dans le sang une révolte des princes du sang en 684, faisant mettre à mort plus de 3 000 personnes parmi la famille impériale et les mandarins. En 690, Ruizong fut rétrogradé au rand de prince héritier. Wu Zetian se proclama alors « empereur de Chine » et revendiqua sa filiation avec l’antique dynastie Zhou, qui avait régné sur la Chine pendant des siècles, jusqu’à 256 avant notre ère.
    
    Cette revendication est un cas unique dans l’histoire, la seule autre exception célèbre, deux siècles auparavant, étant Hatchepsout, qui se proclama Pharaon, sous la XVIIIe dynastie, en Égypte.
    
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    Wu Zetian se comporta en tous points en empereur. Sur le plan politique d’abord, car elle dirigea elle-même ses armées et tint tout le pouvoir dans ses mains. Mais aussi dans sa vie intime !
    
    Malgré un âge ...
    ... avancé, sa sensualité ne se démentit pas. Son favori fut d’abord un jeune bonze, qui la poussa à soutenir le bouddhisme. Le jeune homme, décrit comme séduisant et vigoureux, oublia ses vœux de chasteté ! En réalité, homme de basse extraction, il avait choisi de devenir moine pour pouvoir mieux approcher la redoutable et sensuelle Wu Zetian.
    
    Après sa période bouddhiste, Wu Zetian préféra le taoïsme. Les disciples de Lao Tseu estimaient qu’une sexualité active est gage de longévité. Une recommandation qui convenait parfaitement à l’insatiable Wu Zetian. En tant qu’empereur de Chine, elle eut un harem, composé de concubins endurants, destinés à satisfaire ses appétits sexuels, qu’elle entretenait en faisant un usage important d’aphrodisiaques !
    
    Ses deux favoris suivants furent deux frères, Zhang Yizhi et Zhang Changzong, surnommés « Monsieur cinq » et « Monsieur Six », qui se partagèrent sa couche.
    
    Wu Zetian se lassa vite. Elle prit alors comme étalon Xue Aocao, dont les attributs virils, surdimensionnés, faisaient fuir les femmes. Wu Zetian ne pouvait se passer de cet amant, si bien pourvu, qu’elle surnomma « Monsieur Bonne Taille ». Les accouplements frénétiques de l’impératrice et de Xue furent décrits avec un luxe de détails dans un roman érotique chinois du XVIe siècle, intitulé « Le Seigneur de la parfaite satisfaction » ! Ce livre du XVIe siècle contient de longues descriptions crues, prêtant à Wu Zetian de véritables orgies. L’auteur anonyme du livre imputa à ...
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