Le « 44 » d’Annabelle Lajoie
Datte: 10/06/2024,
Catégories:
f,
ff,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
init,
lesbos,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... belle putain sauterait sur l’occasion si elle lui était offerte. Pénélope restait plus difficile à cerner…
Octave Groseille réveilla Moby Dick en imaginant Pénélope jouir, en pleine lecture, sous les yeux d’Annabelle Lajoie, se caressant furieusement. Si cela arrivait, sa belle putain se transformerait alors en croquemitaine et dévorerait la tendre Pénélope sans qu’elle puisse même se défendre. Octave bandait à en avoir mal. Son imagination ne lui laissa aucune chance de renvoyer Moby Dick dans sa grotte sous-marine. Les corps nus d’Annabelle Lajoie et de Pénélope Tancrène se tordaient à ses genoux. Octave, sexe tendu à se rompre, les regardait en se masturbant lentement. Toutes deux se tripotaient mutuellement, leurs visages ravagés par le plaisir, et très proches de son membre dur. La bouche immense d’Annabelle, et les lèvres sensuelles de Pénélope n’attendaient que son bon plaisir. Octave, d’une main, empoignait doucement une épaisse mèche de cheveux dorés et Pénélope posait enfin ses lèvres sur son gland turgescent. De l’autre main, il tirait sur les lourds cheveux noirs et éloignait Annabelle de ce qu’elle convoitait.
— Oh… Tu attendras ton tour, ma belle putain…
— Pardon ?
L’air furieux, une dame âgée toisait Octave d’un air peu amène.
— Je pensais à haute voix…
La voix sèche de la cliente claqua comme un coup de fouet
— Je n’aimerais pas être dans vos pensées, monsieur !
— Rassurez-vous ! Vous n’y êtes pas, madame…
La vielle ne s’était pas ...
... éloignée de dix pas qu’Octave cédait au désir de sa belle putain. Pénélope et Annabelle le suçaient de concert…
— Je ne voulais pas te froisser Anna…
Annabelle Lajoie sourit, et sa main glissa sur une cuisse ferme.
— Moi par contre, j’ai envie de te froisser, ma chérie…
— Oh…
La main d’Annabelle bougea encore, et le bout de ses doigts frôla le string blanc.
— À commencer par cette petite chose humide qui cache un trésor.
Annabelle appuyait sur le coton du string et caressait ce qu’il couvrait.
— Et quand je dis, humide… tu dois être toute mouillée, ma belle !
— Je crois, oui…
Pénélope n’avait pas esquissé un geste. Le souffle court, elle se concentrait sur la caresse que lui prodiguait cette femme si attirante.
— Ah, tu crois…
Une nouvelle fois, quittant le canapé avec une certaine brusquerie, Annabelle Lajoie abandonna Pénélope à ses émois. C’était comme si elle venait soudain de changer d’idée, et se précipitait pour la satisfaire.
— Mais avant tout, tu dois me faire la lecture !
La maîtresse des lieux avait interdit à Pénélope de bouger, lui demandant simplement de chercher un texte à lire le temps qu’elle débarrasse la table basse des reliefs de leurs grignotages. Pénélope en avait toutefois profité pour passer par la salle de bain. Elle était moite de sueur et s’était passé de l’eau froide sur le visage. Puis elle avait hésité, et s’était décidée. Son intimité baignait dans son jus. Une évocation loin d’être érotique, mais bien réelle. ...