Le « 44 » d’Annabelle Lajoie
Datte: 10/06/2024,
Catégories:
f,
ff,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
init,
lesbos,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... demandé à Auguste de tout lui raconter. Elle voulait tout savoir ! Qu’est-ce que ces filles lui avaient fait ? Qu’est-ce que lui leur avait fait ? Madame Lajoie voulait tout connaître de ces ébats, et surtout, elle désirait que son mari l’abreuve de détails croustillants ! Alors, Auguste voyant sa femme tant excitée qu’elle en perdait le souffle, finit par s’exécuter. Tout en acceptant tout ce que lui faisait son mari, madame Lajoie l’écoutait parler. Que son époux s’imagine la prendre, elle, alors que lui était dans d’autres bras, lui plaisait beaucoup. Mais ce n’était pas ce qui chavirait la jeune femme. C’était toute autre chose qui l’excitait. C’étaient d’autres pensées qui la faisaient mouiller. Tout en écoutant parler Auguste, Annabelle découvrait des fantasmes inconnus jusqu’alors. Elle ouvrait les vannes de son imaginaire tout autant qu’elle ouvrait son corps. Tout d’abord, elle se vit en place de ces femmes. Des femmes si éloignées de ce qu’elle était. Des femmes jouisseuses ! Annabelle était chacune de ces filles et baisait Auguste comme elles l’avaient fait. Son esprit fut très rapidement envahi d’images torrides et son corps se tordit plusieurs fois sous des vagues de plaisir. Annabelle était incapable, aujourd’hui, de se souvenir du nombre d’orgasmes qui l’avaient bousculée cette nuit-là. Elle se souvenait pourtant parfaitement de cette fin de nuit torride. Une nuit inoubliable !
Un clair de lune romantique les avait surpris, alors qu’ils en finissaient ...
... d’une somnolence réparatrice, après leur première étreinte contre ce fichu mur. La lune, comme complice de leurs ébats précédents, jouait la voyeuse. L’astre coquin les éclairait et ses lueurs pâles dessinaient des ombres sur leurs corps. Nue et allongée dans l’herbe du jardin, Annabelle Lajoie s’était aussitôt sentie terriblement excitée. Ses lèvres s’étaient emparées du sexe au repos d’Auguste, et elle avait porté la main de son époux entre ses cuisses moites de sueur et de son plaisir épandu. Très vite, Auguste avait repris une belle vigueur, murmurant qu’il ne se lasserait jamais d’elle. Ce n’était pourtant pas ce qui intéressait madame Lajoie.
— La petite salope blonde… Je veux tout savoir !
Et elle sut tout… Tandis que le mari se souvenait à haute voix, sa femme vivait ce qu’il avait vécu. Elle était Auguste ! Elle était son mari ! Elle baisait cette petite garce ! Et baiser cette fille l’excitait. Quant à l’idée de rendre ce fantasme bien réel… Annabelle Lajoie avait hurlé sous un orgasme brutal. Une jouissance d’une violence insoupçonnée lui avait vrillé l’esprit et fouaillé les entrailles un long moment…
Quelques explications orageuses avaient suivi cette nuit magique. Tout d’abord, Auguste, tel le roseau de la fable, plia souvent, mais ne rompit jamais. Il aimait sa femme ! Annabelle, telle la fourmi de ce bon La Fontaine, se décida à menacer de disette sa cigale de mari si elle ne lui cédait pas. Elle l’aimait toujours ! Bien sûr qu’elle l’aimait ! Mais elle ...